Billie, 14 ans, vit seule avec sa mère, Marika. Malgré des fins de mois compliquées, elles mènent une existence modeste mais joyeuse, portée par l’imagination débordante de Marika, qui transforme chaque journée en une aventure. Son père, Billie ne l’a jamais connu, et face à ses questions, sa mère préfère garder le silence.
Mais un jour, leur équilibre vole en éclats. L’arrivée soudaine de sa grand-mère maternelle bouleverse leur quotidien, et le décès brutal de Marika laisse Billie désemparée. En fouillant dans les affaires de sa mère, elle découvre plusieurs indices sur son passé, dont une vieille photo déchirée où apparaît un homme qu’elle devine être son père. Déterminée à lever le voile sur ses origines, elle prend le volant de leur vieille Nissan et se lance dans un road-trip à la recherche de cet inconnu.
Avec Paradise Garden, Elena Fisher signe un premier roman poignant, empreint de tendresse et d’émotions. Elle aborde avec finesse des thèmes profonds comme le deuil, la quête d’identité, l’amour maternel et le lien indéfectible entre un enfant et son parent. À travers le regard sincère et touchant de Billie, on partage des instants de vie lumineux et intimes, rendant l’attachement entre mère et fille d’autant plus bouleversant.
Le roman prend son temps pour s’installer, nous plongeant dans leur quotidien avant que Billie ne prenne enfin la route, plus de 200 pages plus tard. Ce rythme lent laisse au lecteur tout le loisir de s’attacher aux personnages et de savourer chaque instant. J’ai particulièrement apprécié la plume d’Elena Fisher de par sa simplicité brute et son absence de fioritures. Ce n’est pas un coup de cœur absolu, mais cela s’en rapproche fortement.
Un grand merci à @gleephapp et aux @editions_gallmeister pour cette belle lecture !
Billie, 14 ans, vit seule avec sa mère, Marika. Malgré des fins de mois compliquées, elles mènent une existence modeste mais joyeuse, portée par l’imagination débordante de Marika, qui transforme chaque journée en une aventure. Son père, Billie ne l’a jamais connu, et face à ses questions, sa mère préfère garder le silence.
Mais un jour, leur équilibre vole en éclats. L’arrivée soudaine de sa grand-mère maternelle bouleverse leur quotidien, et le décès brutal de Marika laisse Billie désemparée. En fouillant dans les affaires de sa mère, elle découvre plusieurs indices sur son passé, dont une vieille photo déchirée où apparaît un homme qu’elle devine être son père. Déterminée à lever le voile sur ses origines, elle prend le volant de leur vieille Nissan et se lance dans un road-trip à la recherche de cet inconnu.
Avec Paradise Garden, Elena Fisher signe un premier roman poignant, empreint de tendresse et d’émotions. Elle aborde avec finesse des thèmes profonds comme le deuil, la quête d’identité, l’amour maternel et le lien indéfectible entre un enfant et son parent. À travers le regard sincère et touchant de Billie, on partage des instants de vie lumineux et intimes, rendant l’attachement entre mère et fille d’autant plus bouleversant.
Le roman prend son temps pour s’installer, nous plongeant dans leur quotidien avant que Billie ne prenne enfin la route, plus de 200 pages plus tard. Ce rythme lent laisse au lecteur tout le loisir de s’attacher aux personnages et de savourer chaque instant. J’ai particulièrement apprécié la plume d’Elena Fisher de par sa simplicité brute et son absence de fioritures. Ce n’est pas un coup de cœur absolu, mais cela s’en rapproche fortement.
Un grand merci à @gleephapp et aux @editions_gallmeister pour cette belle lecture !