Paolo Uccello et la représentation du mouvement. Regards sur La Bataillle de San Romano
Par :Formats :
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages112
- PrésentationBroché
- Poids0.27 kg
- Dimensions15,7 cm × 24,0 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-84056-487-4
- EAN9782840564874
- Date de parution03/02/2016
- CollectionD'art en questions
- ÉditeurENSBA
Résumé
James Bloedé porte depuis plusieurs décennies son regard sur l’un des plus grands chefs-d’oeuvre du XVe siècle italien, La Bataille de San Romano, de Paolo Uccello (Florence, 1397-1475). Sans jamais quitter des yeux les tableaux, l’auteur, peintre et professeur d’analyse des oeuvres à l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris, se livre à une analyse très précise de la composition, l’une des plus fascinantes et complexes jamais conçues.
Il montre qu’au contraire des idées reçues, la représentation du mouvement en constitue le thème fondamental. De là, l’invention de systèmes perspectifs tout particuliers, qui prennent en charge non seulement l’espace mais aussi le temps. Uccello dépeint différentes phases de la bataille mais s’attache aussi à représenter les actions des protagonistes, allant même jusqu’à décomposer cinétiquement certains de leurs mouvements.
Dans cet exercice du regard, «tout se passe comme si le spectateur prêtait aux figures représentées la dynamique de sa propre activité perceptive».
Il montre qu’au contraire des idées reçues, la représentation du mouvement en constitue le thème fondamental. De là, l’invention de systèmes perspectifs tout particuliers, qui prennent en charge non seulement l’espace mais aussi le temps. Uccello dépeint différentes phases de la bataille mais s’attache aussi à représenter les actions des protagonistes, allant même jusqu’à décomposer cinétiquement certains de leurs mouvements.
Dans cet exercice du regard, «tout se passe comme si le spectateur prêtait aux figures représentées la dynamique de sa propre activité perceptive».
James Bloedé porte depuis plusieurs décennies son regard sur l’un des plus grands chefs-d’oeuvre du XVe siècle italien, La Bataille de San Romano, de Paolo Uccello (Florence, 1397-1475). Sans jamais quitter des yeux les tableaux, l’auteur, peintre et professeur d’analyse des oeuvres à l’Ecole nationale supérieure des beaux-arts de Paris, se livre à une analyse très précise de la composition, l’une des plus fascinantes et complexes jamais conçues.
Il montre qu’au contraire des idées reçues, la représentation du mouvement en constitue le thème fondamental. De là, l’invention de systèmes perspectifs tout particuliers, qui prennent en charge non seulement l’espace mais aussi le temps. Uccello dépeint différentes phases de la bataille mais s’attache aussi à représenter les actions des protagonistes, allant même jusqu’à décomposer cinétiquement certains de leurs mouvements.
Dans cet exercice du regard, «tout se passe comme si le spectateur prêtait aux figures représentées la dynamique de sa propre activité perceptive».
Il montre qu’au contraire des idées reçues, la représentation du mouvement en constitue le thème fondamental. De là, l’invention de systèmes perspectifs tout particuliers, qui prennent en charge non seulement l’espace mais aussi le temps. Uccello dépeint différentes phases de la bataille mais s’attache aussi à représenter les actions des protagonistes, allant même jusqu’à décomposer cinétiquement certains de leurs mouvements.
Dans cet exercice du regard, «tout se passe comme si le spectateur prêtait aux figures représentées la dynamique de sa propre activité perceptive».