Panser la presse haïtienne. Perspectives herméneutiques à une autorégulation pragmatique
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- Nombre de pages144
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.192 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,8 cm
- ISBN978-2-14-028144-0
- EAN9782140281440
- Date de parution22/07/2022
- CollectionDocumentation haïtienne
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierBertrand Cabedoche
Résumé
L'insouciance et l'écrasement de la dignité humaine, maintes fois reprochés aux Haïtiens, ont fini par abattre la déontologie des médias et des journalistes. Les propriétaires de médias, les directeurs d'opinions et les journalistes censés être les détenteurs de la mission d'informer ont pu s'arracher à un minimum de conscience professionnelle pour hisser le métier d'informer au pinacle de la vénalité.
Les symptômes pathologiques d'une presse vénale sont patents et la banalisation dont ils font l'objet confirme la thèse selon laquelle la presse haïtienne s'englue dans des dérives qui mettent à mal l'éthique et la déontologie professionnelle. Laissée dans une pirogue sans contrôle ni ombudsman, la presse haïtienne, qui n'aime pas qu'on la regarde de l'extérieur, vogue entre perversion et destruction de sa liberté.
Partant de la thèse selon laquelle rien ne peut être fait, en matière d'autorégulation, sans la presse et contre elle, cet ouvrage offre des substrats pour panser les plaies de la sphère médiatique à l'aune de l'agir communicationnel.
Les symptômes pathologiques d'une presse vénale sont patents et la banalisation dont ils font l'objet confirme la thèse selon laquelle la presse haïtienne s'englue dans des dérives qui mettent à mal l'éthique et la déontologie professionnelle. Laissée dans une pirogue sans contrôle ni ombudsman, la presse haïtienne, qui n'aime pas qu'on la regarde de l'extérieur, vogue entre perversion et destruction de sa liberté.
Partant de la thèse selon laquelle rien ne peut être fait, en matière d'autorégulation, sans la presse et contre elle, cet ouvrage offre des substrats pour panser les plaies de la sphère médiatique à l'aune de l'agir communicationnel.
L'insouciance et l'écrasement de la dignité humaine, maintes fois reprochés aux Haïtiens, ont fini par abattre la déontologie des médias et des journalistes. Les propriétaires de médias, les directeurs d'opinions et les journalistes censés être les détenteurs de la mission d'informer ont pu s'arracher à un minimum de conscience professionnelle pour hisser le métier d'informer au pinacle de la vénalité.
Les symptômes pathologiques d'une presse vénale sont patents et la banalisation dont ils font l'objet confirme la thèse selon laquelle la presse haïtienne s'englue dans des dérives qui mettent à mal l'éthique et la déontologie professionnelle. Laissée dans une pirogue sans contrôle ni ombudsman, la presse haïtienne, qui n'aime pas qu'on la regarde de l'extérieur, vogue entre perversion et destruction de sa liberté.
Partant de la thèse selon laquelle rien ne peut être fait, en matière d'autorégulation, sans la presse et contre elle, cet ouvrage offre des substrats pour panser les plaies de la sphère médiatique à l'aune de l'agir communicationnel.
Les symptômes pathologiques d'une presse vénale sont patents et la banalisation dont ils font l'objet confirme la thèse selon laquelle la presse haïtienne s'englue dans des dérives qui mettent à mal l'éthique et la déontologie professionnelle. Laissée dans une pirogue sans contrôle ni ombudsman, la presse haïtienne, qui n'aime pas qu'on la regarde de l'extérieur, vogue entre perversion et destruction de sa liberté.
Partant de la thèse selon laquelle rien ne peut être fait, en matière d'autorégulation, sans la presse et contre elle, cet ouvrage offre des substrats pour panser les plaies de la sphère médiatique à l'aune de l'agir communicationnel.