Paludisme et gratuité des soins au Mali

Par : Issa Diallo

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  • Nombre de pages268
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.414 kg
  • Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-343-16860-9
  • EAN9782343168609
  • Date de parution08/02/2019
  • CollectionEtudes africaines. Santé
  • ÉditeurL'Harmattan
  • PréfacierYaouaga Félix Koné

Résumé

Au Mali, les enfants constituent l'une des couches les plus vulnérables face au paludisme en dépit de l'existence de la politique de gratuité. Ce livre se propose d'analyser les raisons de la persistance et de l'ampleur du paludisme dans un contexte de gratuité. Pour ce faire, l'auteur interroge le fonctionnement de la gratuité en faisant une articulation entre les difficultés liées à sa mise en oeuvre, les pratiques et les perceptions des acteurs.
A la fin de son travail, il ressort que la mise en oeuvre de la gratuité a été faite suite à des pressions internationales et nationales. Elle est caractérisée par une faible implication des acteurs et aussi par un quasi-échec des stratégies de communication. Quant aux pratiques, elles sont relatives au diagnostic et à la prescription d'ordonnance. En termes de perception, une proportion pertinente des bénéficiaires est insatisfaite de son fonctionnement, reconnaissant qu'elle a un coût.
La qualité des soins, même si elle est bonne, dépend en partie d'un paiement direct.
Au Mali, les enfants constituent l'une des couches les plus vulnérables face au paludisme en dépit de l'existence de la politique de gratuité. Ce livre se propose d'analyser les raisons de la persistance et de l'ampleur du paludisme dans un contexte de gratuité. Pour ce faire, l'auteur interroge le fonctionnement de la gratuité en faisant une articulation entre les difficultés liées à sa mise en oeuvre, les pratiques et les perceptions des acteurs.
A la fin de son travail, il ressort que la mise en oeuvre de la gratuité a été faite suite à des pressions internationales et nationales. Elle est caractérisée par une faible implication des acteurs et aussi par un quasi-échec des stratégies de communication. Quant aux pratiques, elles sont relatives au diagnostic et à la prescription d'ordonnance. En termes de perception, une proportion pertinente des bénéficiaires est insatisfaite de son fonctionnement, reconnaissant qu'elle a un coût.
La qualité des soins, même si elle est bonne, dépend en partie d'un paiement direct.