Ouvéa. Quelle vérité ?
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- Nombre de pages319
- PrésentationBroché
- Poids0.565 kg
- Dimensions15,5 cm × 24,0 cm × 3,0 cm
- ISBN978-2-915347-58-6
- EAN9782915347586
- Date de parution05/05/2008
- ÉditeurLittle Big Man
Résumé
Ouvéa une grotte sacrée au fin fond d'une forêt presque impénétrable dans laquelle sont retenus 17 gendarmes mobiles, 7 membres du GIGN, un jeune officier des Troupes de Marine et un magistrat. " Puisque vous ne voulez pas collaborer, la France déclare la guerre au peuple Kanak ".Les mots sont terribles, mais ils sont faux. Il s'agit d'une mystification du Comité indépendantiste Pierre-Declercq, relayée par Le Monde, et dès lors reprise comme parole d'évangile. Et ce n'est pas le seul mensonge dans cette affaire d'État qui se déroule sur fond d'élection présidentielle, d'avril-mai 1988, où s'affrontent MM. Chirac et Mitterrand. Le 5 mai, l'affaire se dénoue par une véritable opération de guerre. 19 indépendantistes et 2 militaires des forces spéciales sont tués ce jour-là. Fallait-il en arriver à cette extrémité? Pourquoi avoir dépêché en Nouvelle-Calédonie, terre française, des unités spéciales, le 11e Choc et le Commando Hubert, censées n'intervenir qu'à l'extérieur du pays
Ouvéa une grotte sacrée au fin fond d'une forêt presque impénétrable dans laquelle sont retenus 17 gendarmes mobiles, 7 membres du GIGN, un jeune officier des Troupes de Marine et un magistrat. " Puisque vous ne voulez pas collaborer, la France déclare la guerre au peuple Kanak ".Les mots sont terribles, mais ils sont faux. Il s'agit d'une mystification du Comité indépendantiste Pierre-Declercq, relayée par Le Monde, et dès lors reprise comme parole d'évangile. Et ce n'est pas le seul mensonge dans cette affaire d'État qui se déroule sur fond d'élection présidentielle, d'avril-mai 1988, où s'affrontent MM. Chirac et Mitterrand. Le 5 mai, l'affaire se dénoue par une véritable opération de guerre. 19 indépendantistes et 2 militaires des forces spéciales sont tués ce jour-là. Fallait-il en arriver à cette extrémité? Pourquoi avoir dépêché en Nouvelle-Calédonie, terre française, des unités spéciales, le 11e Choc et le Commando Hubert, censées n'intervenir qu'à l'extérieur du pays