Où va le monde ?. 2012-2020 : une décennie au devant des catastrophes
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- Nombre de pages76
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.06 kg
- Dimensions10,5 cm × 15,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-7555-0643-3
- EAN9782755506433
- Date de parution15/02/2012
- ÉditeurMille et une Nuits
Résumé
Tous les discours des personnalités économiques ou politiques
ont un point commun : la reprise est en vue, la croissance va
revenir, on va s'en tirer. Certes, il y aura des sacrifices à faire,
des réformes à effectuer, mais grosso modo, le cours ordinaire
des chose reprendra à terme. C'est là l'illusion qui expose au
danger. Pourtant, nul n'arrive à se projeter dans le grand
bouleversement de demain et à anticiper les mutations.
Si rien ne change, nous savons, même si beaucoup refoulent cette perspective, que nous allons à la catastrophe. Pour Yves Cochet, il faut se préparer au choc et le penser comme tel. Pour Jean-Pierre Dupuy, on doit changer de mode de pensée ("faire omme si le pire était inévitable"); pour Susan George, il est urgent de subordonner tout à fait l'économique au politique, au social et à l'écologique.
Quant à Serge Latouche, il nous invite à penser le déclin inéluctable de l'ordre néolibéral occidental et espère qu'il sera remplacé par une société d'abondance frugale.
Si rien ne change, nous savons, même si beaucoup refoulent cette perspective, que nous allons à la catastrophe. Pour Yves Cochet, il faut se préparer au choc et le penser comme tel. Pour Jean-Pierre Dupuy, on doit changer de mode de pensée ("faire omme si le pire était inévitable"); pour Susan George, il est urgent de subordonner tout à fait l'économique au politique, au social et à l'écologique.
Quant à Serge Latouche, il nous invite à penser le déclin inéluctable de l'ordre néolibéral occidental et espère qu'il sera remplacé par une société d'abondance frugale.
Tous les discours des personnalités économiques ou politiques
ont un point commun : la reprise est en vue, la croissance va
revenir, on va s'en tirer. Certes, il y aura des sacrifices à faire,
des réformes à effectuer, mais grosso modo, le cours ordinaire
des chose reprendra à terme. C'est là l'illusion qui expose au
danger. Pourtant, nul n'arrive à se projeter dans le grand
bouleversement de demain et à anticiper les mutations.
Si rien ne change, nous savons, même si beaucoup refoulent cette perspective, que nous allons à la catastrophe. Pour Yves Cochet, il faut se préparer au choc et le penser comme tel. Pour Jean-Pierre Dupuy, on doit changer de mode de pensée ("faire omme si le pire était inévitable"); pour Susan George, il est urgent de subordonner tout à fait l'économique au politique, au social et à l'écologique.
Quant à Serge Latouche, il nous invite à penser le déclin inéluctable de l'ordre néolibéral occidental et espère qu'il sera remplacé par une société d'abondance frugale.
Si rien ne change, nous savons, même si beaucoup refoulent cette perspective, que nous allons à la catastrophe. Pour Yves Cochet, il faut se préparer au choc et le penser comme tel. Pour Jean-Pierre Dupuy, on doit changer de mode de pensée ("faire omme si le pire était inévitable"); pour Susan George, il est urgent de subordonner tout à fait l'économique au politique, au social et à l'écologique.
Quant à Serge Latouche, il nous invite à penser le déclin inéluctable de l'ordre néolibéral occidental et espère qu'il sera remplacé par une société d'abondance frugale.