Où je dors de te méconnaître

Par : Florence Valéro
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  • Nombre de pages62
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.1 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,0 cm × 0,5 cm
  • ISBN978-2-87406-683-2
  • EAN9782874066832
  • Date de parution04/06/2019
  • ÉditeurArbre à paroles (L')

Résumé

Où je dors de te méconnaître c'est un livre de nuit, un livre dans la nuit, enfoncé tout en elle. Sans doute parce que la nuit est le lieu où se pourchassent les êtres qui ont été de passage, comme sur un quai de gare ou dans un film, les êtres inconnus que l'on cherche du regard, et qui n'ont pas de visage pour nous dire, nous révéler ce que l'on cherche, ou qui l'on a perdu. Les êtres, toujours, toujours eux, comme autant de flammes qui veillent dans la longue lignée des histoires anciennes.
Les étoiles, peut-être, qui appellent, ce sont eux, ce sont nous, ce sont ces vibrations dont le poème essaie de prendre le pouls, à rebours d'une peur, d'une question : qui es-tu, toi que je regarde dans le noir ? Il n'y a rien pour te vêtir, ni de jour pour t'éclairer, il n'y a que cette vibration. Essayons, chacun, chacune, dans la nuit qui nous entoure, au plus clair de notre vulnérabilité, de l'écouter, de la saisir, de l'écrire.
Où je dors de te méconnaître c'est un livre de nuit, un livre dans la nuit, enfoncé tout en elle. Sans doute parce que la nuit est le lieu où se pourchassent les êtres qui ont été de passage, comme sur un quai de gare ou dans un film, les êtres inconnus que l'on cherche du regard, et qui n'ont pas de visage pour nous dire, nous révéler ce que l'on cherche, ou qui l'on a perdu. Les êtres, toujours, toujours eux, comme autant de flammes qui veillent dans la longue lignée des histoires anciennes.
Les étoiles, peut-être, qui appellent, ce sont eux, ce sont nous, ce sont ces vibrations dont le poème essaie de prendre le pouls, à rebours d'une peur, d'une question : qui es-tu, toi que je regarde dans le noir ? Il n'y a rien pour te vêtir, ni de jour pour t'éclairer, il n'y a que cette vibration. Essayons, chacun, chacune, dans la nuit qui nous entoure, au plus clair de notre vulnérabilité, de l'écouter, de la saisir, de l'écrire.