Ottomanes. Autochromes de Jules Gervais-Courtellemont

Par : Enis Batur, Timour Muhidine, Emmanuelle Devos

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  • Nombre de pages155
  • PrésentationBroché
  • Poids0.62 kg
  • Dimensions22,5 cm × 22,0 cm × 1,3 cm
  • ISBN2-912019-34-6
  • EAN9782912019349
  • Date de parution18/10/2005
  • CollectionD'un regard l'autre
  • ÉditeurBleu autour
  • TraducteurGül Mete-Yuva

Résumé

Le premier procédé industriel de photographie en couleur est présenté sous le nom d'Autochrome Lumière en juin 1907. Aussitôt, l'explorateur photographe Jules Gervais-Courtellemont s'en empare. Ses premières plaques autochromes seront ottomanes. Projetées à Paris au cours de conférences qu'il émaillait de citations de son ami Pierre Loti, elles révélèrent de " magiques " Visions d'Orient, de cet Orient qu'il chérissait et sillonna à maintes reprises. Si beaucoup de ces autochromes sont fortement imprégnées d'orientalisme, certaines, souligne Emmanuelle Devos, témoignent aussi du constant intérêt porté par Gervais-Courtellemont aux évolutions politiques et sociales du Moyen-Orient. Face à ces images, Enis Batur, pour sa part, perçoit les sons et les odeurs d'Istanbul au début du siècle dernier, ville " épuisée par ce qui lui est arrivé, inquiète déjà de ce qui la guette ", tandis que Timour Muhidine imagine une errance dans l'empire finissant, de Constantinople à Jérusalem, via Konya et Damas.
Le premier procédé industriel de photographie en couleur est présenté sous le nom d'Autochrome Lumière en juin 1907. Aussitôt, l'explorateur photographe Jules Gervais-Courtellemont s'en empare. Ses premières plaques autochromes seront ottomanes. Projetées à Paris au cours de conférences qu'il émaillait de citations de son ami Pierre Loti, elles révélèrent de " magiques " Visions d'Orient, de cet Orient qu'il chérissait et sillonna à maintes reprises. Si beaucoup de ces autochromes sont fortement imprégnées d'orientalisme, certaines, souligne Emmanuelle Devos, témoignent aussi du constant intérêt porté par Gervais-Courtellemont aux évolutions politiques et sociales du Moyen-Orient. Face à ces images, Enis Batur, pour sa part, perçoit les sons et les odeurs d'Istanbul au début du siècle dernier, ville " épuisée par ce qui lui est arrivé, inquiète déjà de ce qui la guette ", tandis que Timour Muhidine imagine une errance dans l'empire finissant, de Constantinople à Jérusalem, via Konya et Damas.
Le Samovar
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