Os troubles - Poche

J'ai tellement aimé Meurtre en Acadie que par ricochet j'apprécie Os trouble qui n'est pas le meilleur et loin d'être le pire de la série.
Je retrouve, avec le sourire, la passion reichienne du naming. Au fil de mes lectures, j'en viens à penser que Tempe est endorsée tout comme le sont les musiciens connues et/ou talentueux.
Je comprends bien qu'elle soit fidèle a son coca Light. Devenu écrivain, je ne concevrais mes héros que buvant de la Bière du Château ou de la Stout Callewaert et non de la Bud US ou une 33 export.
Je note, ensuite, 2 éléments capitaux. Premièrement un serveur tente au cours de l'enquête de refourguer ni vu ni connu un coca classic en lieu et place du célebrissime coca light. Grâce à la politesse du docteur Brennan, il échappe à des foudre au combien méritées.
Enfin, une mère de famille éplorée tend la main et les lèvres non pas vers ces cibiches mais en destination de son paquet de Kool. La tempérance aurait donc tendance à déteindre.
J'ai fort apprécié la fin, rationnae loci. Et ce, peut être, suite au
visionage du dernier épisode de 6 feet Under.
J'ai hâte de retrouver Tempe mais loin des Caroline après un petit tour en boeing bleu de mer.
Autant l'anthropologue de M6 arrive à déterminer la nationalité de la victime rien qu'en regardant une photo pixellisée de son métacarpe.
Autant la littéraire d'un livre sur l'autre oublie les caractéristique de la lèpre ou l'existence des diatomées.
Cela étant cette amnésie permet de lire les TB dans n'importe qu'elle ordre.