Orphée l'enchanteur - Poche

Marie-Thérèse Davidson

(Annotateur)

,

Aline Bureau

(Illustrateur)

Note moyenne 
"Ses pas, tout naturellement, le conduisirent à l'endroit où Eurydice était tombée, tuée par le serpent. La faille ne permettait pas le passage.... Lire la suite
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Résumé

"Ses pas, tout naturellement, le conduisirent à l'endroit où Eurydice était tombée, tuée par le serpent. La faille ne permettait pas le passage. Cela n'entama pas sa détermination. Il accorda la lyre et bientôt sa voix jaillit dans la nuit, comme de son coeur même, au bord de se briser".

Caractéristiques

  • Date de parution
    14/04/2022
  • Editeur
  • Collection
  • ISBN
    978-2-09-249572-8
  • EAN
    9782092495728
  • Format
    Poche
  • Présentation
    Broché
  • Nb. de pages
    128 pages
  • Poids
    0.205 Kg
  • Dimensions
    13,0 cm × 19,0 cm × 1,1 cm

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À propos de l'auteur

Biographie de Guy Jimenes

Né en 1954 en Algérie, Gut Jimenes habite aujourd'hui tout près d'Orléans où il se consacre à l'écriture. Parmi ses livres parus : L'enfant de guern ça chez Oskar, La machine à voler les coeurs chez Rageot, Le jeu du dictionnaire à L'Ecole des loisirs, La nuit des otages chez Michalon, Romulus et Rémus, les fils de Mars et Perséphone prisonnière des Enfers chez Nathan. A obtenu le prix du Roman jeunesse pour La protestation (Pocket junior).
"Le mythe d'Orphée a inspiré de nombreux écrivains et poètes à toutes les époques. J'ai emprunté à Ovide (Métamorphoses, livre X) le début de l'ode à la tortue (chapitre 4), une partie de la supplique d'Orphée (chapitre 8) et son adresse à Hadès (chapitre 9). J'ai aussi emprunté à des oeuvres sans rapport direct avec le mythe : - au chapitre 8, "Pourquoi maintenant, pourquoi déjà" est librement inspiré de Jacques Brel (J'arrive) et "Ouvrez-moi cette porte où je frappe en pleurant" est de Guillaume Apollinaire, tiré du poème "Le Voyageur" (dans Alcools) ; - au chapitre 11, le titre "L'Inconsolé" et plus loin "Le Veuf" viennent de Gérard de Nerval (El Desdichado) ; le chant du jeune garçon (continué au chapitre 12) est une citation de Lamartine (Pensées des morts) ; enfin, la phrase que prononce Orphée "Ce monstre inhumain c'est moi-même" est de Guillaume Apollinaire, tirée du Bestiaire (dans Alcools).
G. J".

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