Ontologie de la liberté. La souffrance et le mal

Par : Luigi Pareyson

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  • Nombre de pages284
  • PrésentationBroché
  • Poids0.41 kg
  • Dimensions15,0 cm × 22,0 cm × 2,0 cm
  • ISBN2-84162-021-2
  • EAN9782841620210
  • Date de parution13/07/1998
  • CollectionPhilosophie imaginaire
  • ÉditeurEclat (Editions de l')
  • TraducteurGilles A. Tiberghien

Résumé

"Au commencement était le choix" écrit Pareyson, mais "le premier acte de liberté a été, en Dieu, un acte de liberté positive et, en l'homme, un acte de liberté négative. Une divergence immense, un déclin épouvantable et irréversible. Est-il possible d'arrêter cette sinistre décadence et d'inverser le cours des choses ? " Ainsi la philosophie de la liberté qui se dessine dans ces pages se fonde-t-elle sur un rapport étroit avec le problème du mal et de la souffrance : — du "mal en Dieu", comme possibilité ; de la souffrance de l'homme comme réalité.
Elle prend la forme d'une herméneutique de l'expérience religieuse s'appuyant sur le mythe, en tant qu'il est le plus-à même de rendre compte du caractère inépuisable du transcendant. Et pour approcher au plus près le "moment athée de la divinité", Pareyson déploie ici une écriture tourmentée, fragile et tendue à l'extrême, portant témoignage d'une expérience de pensée singulière qui ne s'est jamais accommodée de la seule réponse "morale" apportée à la question fondamentale formulée pour la première fois par Leibniz : "Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? ".
"Au commencement était le choix" écrit Pareyson, mais "le premier acte de liberté a été, en Dieu, un acte de liberté positive et, en l'homme, un acte de liberté négative. Une divergence immense, un déclin épouvantable et irréversible. Est-il possible d'arrêter cette sinistre décadence et d'inverser le cours des choses ? " Ainsi la philosophie de la liberté qui se dessine dans ces pages se fonde-t-elle sur un rapport étroit avec le problème du mal et de la souffrance : — du "mal en Dieu", comme possibilité ; de la souffrance de l'homme comme réalité.
Elle prend la forme d'une herméneutique de l'expérience religieuse s'appuyant sur le mythe, en tant qu'il est le plus-à même de rendre compte du caractère inépuisable du transcendant. Et pour approcher au plus près le "moment athée de la divinité", Pareyson déploie ici une écriture tourmentée, fragile et tendue à l'extrême, portant témoignage d'une expérience de pensée singulière qui ne s'est jamais accommodée de la seule réponse "morale" apportée à la question fondamentale formulée pour la première fois par Leibniz : "Pourquoi y a-t-il quelque chose plutôt que rien ? ".