Onfray coi maintenant ?. Quelques réflexions (tardives) sur et autour du livre "Crépuscule d'une idole, affabulations freudiennes"
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- Nombre de pages131
- PrésentationBroché
- Poids0.17 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,2 cm
- ISBN978-2-343-02749-4
- EAN9782343027494
- Date de parution01/02/2014
- CollectionMarges Linguistiques
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
La grande force de Michel Onfray réside probablement dans son autobiographie qu'il devrait exposer un jour sous une forme encore plus littéraire et surtout plus complète. Cet Onfray-là mérite, selon moi, respect et considération, il peut transmuter d'indéniables souffrances passées par la vertu d'une écriture gracieuse et sensible - c'est sur ce terrain-là qu'Onfray excelle, un terrain qui reste pourtant largement inexploité et qui mériterait des développements littéraires ultérieurs.
L'autre Onfray, l'Onfray intellectuel, l'Onfray philosophe, l'Onfray hédoniste, etc ... pose plus de problèmes qu'il n'apporte de solutions. Cet Onfray-là est beaucoup plus terrifiant, il casse beaucoup et construit peu. A vouloir être trop radical, trop rapide, trop incisif, trop, trop, trop... Onfray perd son âme, il dogmatise son anti-dogmatisme et détruit en deux temps trois mouvements ce qui pourrait pourtant nourrir une saine réflexion sophistiquée et complexe.
Onfray donne l'impression de ne jamais douter, en ceci il est inquiétant. Et Freud me direz-vous ? Et bien Freud ne méritait en rien cette entreprise onfraynienne de démolition systématique, pas plus que Freud n'a à être vénéré comme je ne sais quel Dieu. Cette conviction a guidé les pages qui suivent, a inspiré ce petit texte (Quelques réflexions (tardives) sur et autour du livre Crépuscule d'une idole - Affabulations freudienne) écrit sur un mode résolument ludique, irrévérencieux et finalement plutôt joyeux.
L'autre Onfray, l'Onfray intellectuel, l'Onfray philosophe, l'Onfray hédoniste, etc ... pose plus de problèmes qu'il n'apporte de solutions. Cet Onfray-là est beaucoup plus terrifiant, il casse beaucoup et construit peu. A vouloir être trop radical, trop rapide, trop incisif, trop, trop, trop... Onfray perd son âme, il dogmatise son anti-dogmatisme et détruit en deux temps trois mouvements ce qui pourrait pourtant nourrir une saine réflexion sophistiquée et complexe.
Onfray donne l'impression de ne jamais douter, en ceci il est inquiétant. Et Freud me direz-vous ? Et bien Freud ne méritait en rien cette entreprise onfraynienne de démolition systématique, pas plus que Freud n'a à être vénéré comme je ne sais quel Dieu. Cette conviction a guidé les pages qui suivent, a inspiré ce petit texte (Quelques réflexions (tardives) sur et autour du livre Crépuscule d'une idole - Affabulations freudienne) écrit sur un mode résolument ludique, irrévérencieux et finalement plutôt joyeux.
La grande force de Michel Onfray réside probablement dans son autobiographie qu'il devrait exposer un jour sous une forme encore plus littéraire et surtout plus complète. Cet Onfray-là mérite, selon moi, respect et considération, il peut transmuter d'indéniables souffrances passées par la vertu d'une écriture gracieuse et sensible - c'est sur ce terrain-là qu'Onfray excelle, un terrain qui reste pourtant largement inexploité et qui mériterait des développements littéraires ultérieurs.
L'autre Onfray, l'Onfray intellectuel, l'Onfray philosophe, l'Onfray hédoniste, etc ... pose plus de problèmes qu'il n'apporte de solutions. Cet Onfray-là est beaucoup plus terrifiant, il casse beaucoup et construit peu. A vouloir être trop radical, trop rapide, trop incisif, trop, trop, trop... Onfray perd son âme, il dogmatise son anti-dogmatisme et détruit en deux temps trois mouvements ce qui pourrait pourtant nourrir une saine réflexion sophistiquée et complexe.
Onfray donne l'impression de ne jamais douter, en ceci il est inquiétant. Et Freud me direz-vous ? Et bien Freud ne méritait en rien cette entreprise onfraynienne de démolition systématique, pas plus que Freud n'a à être vénéré comme je ne sais quel Dieu. Cette conviction a guidé les pages qui suivent, a inspiré ce petit texte (Quelques réflexions (tardives) sur et autour du livre Crépuscule d'une idole - Affabulations freudienne) écrit sur un mode résolument ludique, irrévérencieux et finalement plutôt joyeux.
L'autre Onfray, l'Onfray intellectuel, l'Onfray philosophe, l'Onfray hédoniste, etc ... pose plus de problèmes qu'il n'apporte de solutions. Cet Onfray-là est beaucoup plus terrifiant, il casse beaucoup et construit peu. A vouloir être trop radical, trop rapide, trop incisif, trop, trop, trop... Onfray perd son âme, il dogmatise son anti-dogmatisme et détruit en deux temps trois mouvements ce qui pourrait pourtant nourrir une saine réflexion sophistiquée et complexe.
Onfray donne l'impression de ne jamais douter, en ceci il est inquiétant. Et Freud me direz-vous ? Et bien Freud ne méritait en rien cette entreprise onfraynienne de démolition systématique, pas plus que Freud n'a à être vénéré comme je ne sais quel Dieu. Cette conviction a guidé les pages qui suivent, a inspiré ce petit texte (Quelques réflexions (tardives) sur et autour du livre Crépuscule d'une idole - Affabulations freudienne) écrit sur un mode résolument ludique, irrévérencieux et finalement plutôt joyeux.