One more dance. Before they take the light away

Par : Christophe Acker
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  • Nombre de pages64
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.36 kg
  • Dimensions17,0 cm × 25,0 cm × 1,5 cm
  • ISBN978-2-35046-580-7
  • EAN9782350465807
  • Date de parution22/09/2022
  • ÉditeurFiligranes (Editions)
  • AuteurNicolas Comment

Résumé

Christophe Acker, réalisateur, signe la résidence de cette dixième édition et propose un film qui appréhende la ville de Vichy à travers la danse et le mouvement afin de la considérer comme un corps et un système vivant. Le coeur de la ville, ses artères, son centre névralgique, ses parcs et jardins comme ses poumons, autant de métaphores organicistes et même animistes qui assimilent l'espace urbain à un organisme, aussi bien d'un point de vue physique que fonctionnel, et dont Christophe Acker se sert pour créer une pulsation dans la ville.
Accompagné de la chorégraphe Johana Malédon, il est allé d'un quartier à l'autre à la rencontre des Vichyssois, des élèves d'écoles de danse, et d'une cavalière, déplaçant les lignes et mettant en lumière les liens qui s'opèrent entre mouvement des corps et lignes architecturales. Sa proposition offre un regard singulier sur la ville. La résidence photographique est confiée cette année au réalisateur Français Christophe Acker qui a travaillé, avec des élèves d'écoles de danse de Vichy, une cavalière et une acrobate, à l'étonnante proposition d'une visite "dansée" de la ville, à travers un film projeté au palais des Congrès et des photographies présentés sur le parvis de la gare.
Christophe Acker, réalisateur, signe la résidence de cette dixième édition et propose un film qui appréhende la ville de Vichy à travers la danse et le mouvement afin de la considérer comme un corps et un système vivant. Le coeur de la ville, ses artères, son centre névralgique, ses parcs et jardins comme ses poumons, autant de métaphores organicistes et même animistes qui assimilent l'espace urbain à un organisme, aussi bien d'un point de vue physique que fonctionnel, et dont Christophe Acker se sert pour créer une pulsation dans la ville.
Accompagné de la chorégraphe Johana Malédon, il est allé d'un quartier à l'autre à la rencontre des Vichyssois, des élèves d'écoles de danse, et d'une cavalière, déplaçant les lignes et mettant en lumière les liens qui s'opèrent entre mouvement des corps et lignes architecturales. Sa proposition offre un regard singulier sur la ville. La résidence photographique est confiée cette année au réalisateur Français Christophe Acker qui a travaillé, avec des élèves d'écoles de danse de Vichy, une cavalière et une acrobate, à l'étonnante proposition d'une visite "dansée" de la ville, à travers un film projeté au palais des Congrès et des photographies présentés sur le parvis de la gare.
Christophe Acker, après les Beaux-Arts à Paris (peinture et vidéo), il réalisé des clips pour Lou Doillon, Miossec, Lavilliers, Jean-Louis Murat, Bashung. . . ou des portraits filmés d'Olivia Ruiz, Johnny Hallyday etc. Il a tracé son sillon dans le monde de la musique tout en élargissant le spectre de ses créations. "J'aime tout ce qui est expérimental. J'ai co-lancé une émission culturelle sur France 5, réalisé des documentaires pour Arte et Canal +, produit et collaboré à des films. Tout cela en jouant de la musique rock batterie, basse dans un groupe. J'ai réalisé des films avec des artistes contemporains pour la Biennale de Venise ou le Palais de Tokyo".