Antonio Carmona est un jeune auteur à suivre, car son premier roman est un pur délice.
Il aborde un sujet grave avec une élégance et une sensibilité qui touchent le coeur, mais il sait aussi apporter le rire grâce à des personnages détonants et des situations cocasses.
C’est un récit à la première personne, qui parle de la vie, mais aussi de la perte de quelqu’un qu’on aime, de la force du souvenir qui le garde vivant en soi, d’une amitié profonde qui surgit là où on ne l’attend pas, et puis c’est aussi un voyage au Pays du Soleil Levant, une immersion dans sa culture, ses coutumes, qui offrent un vrai dépaysement.
D’une écriture soignée, l’auteur fait prendre vie à des personnages pittoresques à souhait, merveilleusement dépeints (oh ! L’inénarrable Madame Dédenon!), des gens vrais, qui « essayent » tous d’exister malgré leur fêlure, leur différence, leur solitude ou leur chagrin.
A lire, à offrir de toute urgence, car l’émotion, la bonne humeur et la tendresse qui s’en dégagent sont comme une friandise qui fond lentement sous la langue…
Antonio Carmona est un jeune auteur à suivre, car son premier roman est un pur délice.
Il aborde un sujet grave avec une élégance et une sensibilité qui touchent le coeur, mais il sait aussi apporter le rire grâce à des personnages détonants et des situations cocasses.
C’est un récit à la première personne, qui parle de la vie, mais aussi de la perte de quelqu’un qu’on aime, de la force du souvenir qui le garde vivant en soi, d’une amitié profonde qui surgit là où on ne l’attend pas, et puis c’est aussi un voyage au Pays du Soleil Levant, une immersion dans sa culture, ses coutumes, qui offrent un vrai dépaysement.
D’une écriture soignée, l’auteur fait prendre vie à des personnages pittoresques à souhait, merveilleusement dépeints (oh ! L’inénarrable Madame Dédenon!), des gens vrais, qui « essayent » tous d’exister malgré leur fêlure, leur différence, leur solitude ou leur chagrin.
A lire, à offrir de toute urgence, car l’émotion, la bonne humeur et la tendresse qui s’en dégagent sont comme une friandise qui fond lentement sous la langue…