On achève bien les centenaires. Une enquête de Matteo Di Genaro
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- Nombre de pages120
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.157 kg
- Dimensions14,0 cm × 21,5 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-940516-30-8
- EAN9782940516308
- Date de parution30/01/2025
- ÉditeurBSN Press
Résumé
Au coeur des Quartiers Espagnols, à Naples, un Marocain est assassiné trois jours avant son centième anniversaire. Mafia, crime raciste ? Pour Matteo Di Genaro, c'est avant tout une affaire personnelle. Accompagné de sa filleule Léa, adolescente en phase de rébellion avancée, il retourne dans la cité de son enfance. Entre les tragédies de l'histoire et les blessures personnelles, Matteo promène son humour noir dans une Naples qui fait figure de protagoniste.
A travers une enquête décalée déjouant les codes du polar, dans une ville où le passé et le présent se superposent, on voit se vérifier le fameux dicton napolitain : " La vengeance se mange plus froide qu'une pizza frite. "
A travers une enquête décalée déjouant les codes du polar, dans une ville où le passé et le présent se superposent, on voit se vérifier le fameux dicton napolitain : " La vengeance se mange plus froide qu'une pizza frite. "
Au coeur des Quartiers Espagnols, à Naples, un Marocain est assassiné trois jours avant son centième anniversaire. Mafia, crime raciste ? Pour Matteo Di Genaro, c'est avant tout une affaire personnelle. Accompagné de sa filleule Léa, adolescente en phase de rébellion avancée, il retourne dans la cité de son enfance. Entre les tragédies de l'histoire et les blessures personnelles, Matteo promène son humour noir dans une Naples qui fait figure de protagoniste.
A travers une enquête décalée déjouant les codes du polar, dans une ville où le passé et le présent se superposent, on voit se vérifier le fameux dicton napolitain : " La vengeance se mange plus froide qu'une pizza frite. "
A travers une enquête décalée déjouant les codes du polar, dans une ville où le passé et le présent se superposent, on voit se vérifier le fameux dicton napolitain : " La vengeance se mange plus froide qu'une pizza frite. "
A propos de Antonio Albanese
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