On a retrouvé le journal d'une cocotte de la Belle Epoque, Madame Steinheil, ma grand - tante. Mémoires officiels contre journal intime
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- Poids0.22 kg
- Dimensions14,5 cm × 20,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-919232-29-1
- EAN9782919232291
- Date de parution01/10/2012
- ÉditeurUnicité
Résumé
Née en 1869, à l'aube de la Belle Epoque, ma grand-tante, Marguerite Steinheil, Grande Cocotte de son état, a écrit ses souvenirs dans un gros livre de 450 pages. On y découvre une protestante, d'excellente famille, charmante, intelligente, créatrice et égérie d'un salon artistique et littéraire, entre 1892 et 1908. Secrétaire personnelle du président Félix Faure, elle l'aide à rédiger ses mémoires mais perd son emploi quand, en 1899, il trouve une mort scandaleuse dans ses bras ! Neuf ans plus tard, en 1908, à son domicile, le mari et la mère de Marguerite sont assassinés, elle attachée aux barreaux d'un lit, la chemise relevée jusqu'au cou, mais vivante ! Accusée de complicité, après un an de prison, elle passe aux assises, est blanchie, s'expatrie à Londres, épouse un lord, est reçue à Buckingham Palace et meurt en 1954, emportant avec elle le secret de l'identité des agresseurs.
De nombreux auteurs ont tenté d'expliquer son rôle dans ce drame qui fit la une des journaux, mais aucun n'eut accès à ces feuillets jaunis de son journal intime qu'en s'écoulant le temps a rendus apocryphes. Sauf moi, sa petite-nièce...
De nombreux auteurs ont tenté d'expliquer son rôle dans ce drame qui fit la une des journaux, mais aucun n'eut accès à ces feuillets jaunis de son journal intime qu'en s'écoulant le temps a rendus apocryphes. Sauf moi, sa petite-nièce...
Née en 1869, à l'aube de la Belle Epoque, ma grand-tante, Marguerite Steinheil, Grande Cocotte de son état, a écrit ses souvenirs dans un gros livre de 450 pages. On y découvre une protestante, d'excellente famille, charmante, intelligente, créatrice et égérie d'un salon artistique et littéraire, entre 1892 et 1908. Secrétaire personnelle du président Félix Faure, elle l'aide à rédiger ses mémoires mais perd son emploi quand, en 1899, il trouve une mort scandaleuse dans ses bras ! Neuf ans plus tard, en 1908, à son domicile, le mari et la mère de Marguerite sont assassinés, elle attachée aux barreaux d'un lit, la chemise relevée jusqu'au cou, mais vivante ! Accusée de complicité, après un an de prison, elle passe aux assises, est blanchie, s'expatrie à Londres, épouse un lord, est reçue à Buckingham Palace et meurt en 1954, emportant avec elle le secret de l'identité des agresseurs.
De nombreux auteurs ont tenté d'expliquer son rôle dans ce drame qui fit la une des journaux, mais aucun n'eut accès à ces feuillets jaunis de son journal intime qu'en s'écoulant le temps a rendus apocryphes. Sauf moi, sa petite-nièce...
De nombreux auteurs ont tenté d'expliquer son rôle dans ce drame qui fit la une des journaux, mais aucun n'eut accès à ces feuillets jaunis de son journal intime qu'en s'écoulant le temps a rendus apocryphes. Sauf moi, sa petite-nièce...