Ombres chinoises
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- Nombre de pages351
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.345 kg
- Dimensions12,5 cm × 19,1 cm × 1,7 cm
- ISBN978-2-251-45656-0
- EAN9782251456560
- Date de parution15/01/2025
- CollectionLe goût de l'Histoire
- ÉditeurBelles Lettres
- PréfacierJean-François Revel
Résumé
Durant le dernier quart du XXe siècle, l'inclassable Simon Leys a proposé une interprétation de la Chine contemporaine qui n'a pas eu le don d'amuser les belles âmes ni les gens futés (politiciens, hommes d'affaires et sinologues dans le vent). Fin connaisseur du pays pour y avoir séjourné à de nombreuses reprises dès 1955, il fut l'un des tout premiers à prêter l'oreille aux voix des gens de la rue ou du Parti.
De cette expérience sans équivalent, il s'employa, sous la forme du pamphlet informé, à écrire ce qui est sans doute la critique la plus vive et la plus spirituelle jamais écrite sur la Chine de Mao. Son souci principal était d'autant plus éloquent qu'il était plus simple : "pour pouvoir enfin occuper la place qui lui revient dans le monde moderne, la Chine devrait commencer par respecter les Chinois, et par devenir démocratique.
Le despotisme est une coûteuse extravagance qu'elle n'a plus les moyens de se permettre". L'attention que l'Occident porte à la Chine a une histoire. Et ces pages, dont la secrète légèreté n'est que talent littéraire, sont fondamentales pour qui entend aujourd'hui tenir un discours un tant soit peu sérieux sur la Chine.
De cette expérience sans équivalent, il s'employa, sous la forme du pamphlet informé, à écrire ce qui est sans doute la critique la plus vive et la plus spirituelle jamais écrite sur la Chine de Mao. Son souci principal était d'autant plus éloquent qu'il était plus simple : "pour pouvoir enfin occuper la place qui lui revient dans le monde moderne, la Chine devrait commencer par respecter les Chinois, et par devenir démocratique.
Le despotisme est une coûteuse extravagance qu'elle n'a plus les moyens de se permettre". L'attention que l'Occident porte à la Chine a une histoire. Et ces pages, dont la secrète légèreté n'est que talent littéraire, sont fondamentales pour qui entend aujourd'hui tenir un discours un tant soit peu sérieux sur la Chine.
Durant le dernier quart du XXe siècle, l'inclassable Simon Leys a proposé une interprétation de la Chine contemporaine qui n'a pas eu le don d'amuser les belles âmes ni les gens futés (politiciens, hommes d'affaires et sinologues dans le vent). Fin connaisseur du pays pour y avoir séjourné à de nombreuses reprises dès 1955, il fut l'un des tout premiers à prêter l'oreille aux voix des gens de la rue ou du Parti.
De cette expérience sans équivalent, il s'employa, sous la forme du pamphlet informé, à écrire ce qui est sans doute la critique la plus vive et la plus spirituelle jamais écrite sur la Chine de Mao. Son souci principal était d'autant plus éloquent qu'il était plus simple : "pour pouvoir enfin occuper la place qui lui revient dans le monde moderne, la Chine devrait commencer par respecter les Chinois, et par devenir démocratique.
Le despotisme est une coûteuse extravagance qu'elle n'a plus les moyens de se permettre". L'attention que l'Occident porte à la Chine a une histoire. Et ces pages, dont la secrète légèreté n'est que talent littéraire, sont fondamentales pour qui entend aujourd'hui tenir un discours un tant soit peu sérieux sur la Chine.
De cette expérience sans équivalent, il s'employa, sous la forme du pamphlet informé, à écrire ce qui est sans doute la critique la plus vive et la plus spirituelle jamais écrite sur la Chine de Mao. Son souci principal était d'autant plus éloquent qu'il était plus simple : "pour pouvoir enfin occuper la place qui lui revient dans le monde moderne, la Chine devrait commencer par respecter les Chinois, et par devenir démocratique.
Le despotisme est une coûteuse extravagance qu'elle n'a plus les moyens de se permettre". L'attention que l'Occident porte à la Chine a une histoire. Et ces pages, dont la secrète légèreté n'est que talent littéraire, sont fondamentales pour qui entend aujourd'hui tenir un discours un tant soit peu sérieux sur la Chine.