Ombres caravagesques / Ombre caravaggesche

Par : Giulia Savio

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  • Nombre de pages64
  • PrésentationBroché
  • Poids0.15 kg
  • Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 0,4 cm
  • ISBN978-2-36580-118-8
  • EAN9782365801188
  • Date de parution21/08/2014
  • CollectionEcrivains de Monaco
  • ÉditeurLiberfaber

Résumé

L'étrange référence au nom de Michelangelo Merisi da Caravaggio (1571-1610) apparaît dans les comptes-rendus de nombreux voyageurs et ceux d'érudits locaux monégasques entre les XVIIIe et XIXe siècles. De fait, certains de ces témoignages écrits faisaient référence au fait qu'une partie des fresques de la galerie d'Hercule aurait été de la main de cet artiste. Cette information livrée discrètement, mentionnée aussi bien en français qu'en italien, permet de s'interroger sur son bien-fondé et, in fine, sur l'intérêt porté au Merisi en territoire monégasque ainsi que sur le nombre de ses collectionneurs autochtones ; gageure d'autant plus intéressante que la principauté de Monaco n'a jamais été étudiée sous cet angle jusqu'à présent.
Notre but ne sera pas de recourir à la spectacularisation propre au personnage qui, ces dernières années, a maintes fois été l'objet de discussions. Nous nous attacherons plutôt à mettre en exergue les récits de voyage qui nous sont parvenus, ainsi qu'à commenter quelques-uns des choix particuliers faits par les collectionneurs (notamment celui concernant l'histoire d'un tableau perdu du Caravage), qui sont encore susceptibles de prêter le flanc à plusieurs interprétations et à des recherches.
L'étrange référence au nom de Michelangelo Merisi da Caravaggio (1571-1610) apparaît dans les comptes-rendus de nombreux voyageurs et ceux d'érudits locaux monégasques entre les XVIIIe et XIXe siècles. De fait, certains de ces témoignages écrits faisaient référence au fait qu'une partie des fresques de la galerie d'Hercule aurait été de la main de cet artiste. Cette information livrée discrètement, mentionnée aussi bien en français qu'en italien, permet de s'interroger sur son bien-fondé et, in fine, sur l'intérêt porté au Merisi en territoire monégasque ainsi que sur le nombre de ses collectionneurs autochtones ; gageure d'autant plus intéressante que la principauté de Monaco n'a jamais été étudiée sous cet angle jusqu'à présent.
Notre but ne sera pas de recourir à la spectacularisation propre au personnage qui, ces dernières années, a maintes fois été l'objet de discussions. Nous nous attacherons plutôt à mettre en exergue les récits de voyage qui nous sont parvenus, ainsi qu'à commenter quelques-uns des choix particuliers faits par les collectionneurs (notamment celui concernant l'histoire d'un tableau perdu du Caravage), qui sont encore susceptibles de prêter le flanc à plusieurs interprétations et à des recherches.