Olympisme et samouraïs. Pierre de Coubertin et Jigoro Kano : combattants du sport et de l'éducation
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- Nombre de pages270
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.32 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,3 cm
- ISBN978-2-336-45955-4
- EAN9782336459554
- Date de parution13/05/2024
- CollectionEspaces et Temps du sport
- ÉditeurL'Harmattan
- PréfacierDavid Lappartient
- PréfacierMarius Vizer
Résumé
1870 : le Japon décrète la fin des samouraïs, la France se donne une nouvelle République. Quelques années plus tard, deux jeunes hommes vont se lancer dans des aventures extraordinaires : Pierre de Coubertin veut ressusciter l'Olympisme de l'Antiquité et Jigoro Kano veut rénover le vieux Jujitsu des samouraïs. En explorant des recoins oubliés de leurs civilisations respectives, ils réussiront à inventer deux monuments du sport : l'Olympisme moderne et le Judo.
Ces derniers, dans leurs esprits, devaient dépasser le sport et servir la seule ambition qui vaille, celle du progrès humain par l'éducation. Une vision à méditer à l'heure où Tokyo passe le relais olympique à Paris.
Ces derniers, dans leurs esprits, devaient dépasser le sport et servir la seule ambition qui vaille, celle du progrès humain par l'éducation. Une vision à méditer à l'heure où Tokyo passe le relais olympique à Paris.
1870 : le Japon décrète la fin des samouraïs, la France se donne une nouvelle République. Quelques années plus tard, deux jeunes hommes vont se lancer dans des aventures extraordinaires : Pierre de Coubertin veut ressusciter l'Olympisme de l'Antiquité et Jigoro Kano veut rénover le vieux Jujitsu des samouraïs. En explorant des recoins oubliés de leurs civilisations respectives, ils réussiront à inventer deux monuments du sport : l'Olympisme moderne et le Judo.
Ces derniers, dans leurs esprits, devaient dépasser le sport et servir la seule ambition qui vaille, celle du progrès humain par l'éducation. Une vision à méditer à l'heure où Tokyo passe le relais olympique à Paris.
Ces derniers, dans leurs esprits, devaient dépasser le sport et servir la seule ambition qui vaille, celle du progrès humain par l'éducation. Une vision à méditer à l'heure où Tokyo passe le relais olympique à Paris.