Oeuvres philosophiques. Tome 3, Les derniers écrits de 1792-1793

Par : Emmanuel Kant
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  • Nombre de pages1561
  • FormatBeau Livre
  • Poids0.595 kg
  • Dimensions11,5 cm × 17,9 cm × 3,9 cm
  • ISBN2-07-011106-7
  • EAN9782070111060
  • Date de parution17/06/2003
  • CollectionBibliothèque de la Pléiade
  • ÉditeurGallimard

Résumé

Thomas de Quincey - pour marquer la prépondérance de Kant dans la philosophie occidentale - osait affirmer que si un lecteur prétendait être indifférent à sa philosophie, il faudrait supposer qu'il soit "parfaitement inintellectuel" ou, encore, " feindre, par politesse, de supposer le contraire". Avec ce tome III s'achève, dans la Pléiade, la publication des ouvres du philosophe. Le lecteur, saisissant - ne serait-ce qu'intuitivement - les modifications apportées aux structures de la pensée par la construction de Kant, pourra ainsi avoir un libre et facile accès à l'-uvre d'un des philosophes qu'on ne peut "éviter".
On sait trop que c'est à Kant d'abord qu'Heidegger dut s'affronter. L'éditeur a voulu restituer les o uvres dans la simplicité de leur évolution chronologique. Si on peut penser que ce dernier volume n'apporte plus de découvertes majeures (il ne faudrait néanmoins pas oublier de quel poids la Métaphysique des mours pèse sur nos sociétés et ne pas nier que nous relevons encore du fantasme d'un Projet de paix perpétuelle), on pourra cependant mesurer de quel incessant travail de reprise et d'affinement la pensée de Kant est capable.
Ferdinand Alquié - le maître d'ouvre de cette publication - déclarait qu'"une édition de Kant n'est pas une thèse sur Kant". C'est donc à un humble travail de balisage que se sont attachés ses divers collaborateurs pour guider l'homme curieux - donc susceptible de philosopher - dans cette ouvre gigantesque qui, incontestablement et peut-être à notre insu -, nous a tous "fondés".
Thomas de Quincey - pour marquer la prépondérance de Kant dans la philosophie occidentale - osait affirmer que si un lecteur prétendait être indifférent à sa philosophie, il faudrait supposer qu'il soit "parfaitement inintellectuel" ou, encore, " feindre, par politesse, de supposer le contraire". Avec ce tome III s'achève, dans la Pléiade, la publication des ouvres du philosophe. Le lecteur, saisissant - ne serait-ce qu'intuitivement - les modifications apportées aux structures de la pensée par la construction de Kant, pourra ainsi avoir un libre et facile accès à l'-uvre d'un des philosophes qu'on ne peut "éviter".
On sait trop que c'est à Kant d'abord qu'Heidegger dut s'affronter. L'éditeur a voulu restituer les o uvres dans la simplicité de leur évolution chronologique. Si on peut penser que ce dernier volume n'apporte plus de découvertes majeures (il ne faudrait néanmoins pas oublier de quel poids la Métaphysique des mours pèse sur nos sociétés et ne pas nier que nous relevons encore du fantasme d'un Projet de paix perpétuelle), on pourra cependant mesurer de quel incessant travail de reprise et d'affinement la pensée de Kant est capable.
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