Née dans les années 1930, la profonde amitié liant Adolfo Bioy Casares et Jorge Luis Borges, ces deux immenses figures de la littérature argentine, s'est muée en une incomparable oeuvre à quatre mains, poursuivie durant près de cinquante ans. Récits policiers de style baroque, satires de critiques littéraires, fables politiques échevelées, scénarios hantés parla mythologie des faubourgs de Buenos Aires...
De formes diverses, les textes qu'ils ont écrits ensemble apparaissent en dernier ressort comme une exploration virtuose des possibilités parodiques du langage. Cette partie méconnue du corpus des deux auteurs est pour la première fois traduite dans son intégralité en français et réunie en un volume. "La parodie, thème périphérique dans les ceuvres respectives de Borges et Bioy Casares, est devenue centrale dans leur production littéraire commune.
[...] Bien plus qu'un simple geste de dérision, elle s'apparente à un véritable instrument de connaissance, à une arme critique et, surtout, à un mode de construction littéraire. Pour résumer : une poétique.", Extrait de la préface de Mohamed Mbougar Sarr.
Née dans les années 1930, la profonde amitié liant Adolfo Bioy Casares et Jorge Luis Borges, ces deux immenses figures de la littérature argentine, s'est muée en une incomparable oeuvre à quatre mains, poursuivie durant près de cinquante ans. Récits policiers de style baroque, satires de critiques littéraires, fables politiques échevelées, scénarios hantés parla mythologie des faubourgs de Buenos Aires...
De formes diverses, les textes qu'ils ont écrits ensemble apparaissent en dernier ressort comme une exploration virtuose des possibilités parodiques du langage. Cette partie méconnue du corpus des deux auteurs est pour la première fois traduite dans son intégralité en français et réunie en un volume. "La parodie, thème périphérique dans les ceuvres respectives de Borges et Bioy Casares, est devenue centrale dans leur production littéraire commune.
[...] Bien plus qu'un simple geste de dérision, elle s'apparente à un véritable instrument de connaissance, à une arme critique et, surtout, à un mode de construction littéraire. Pour résumer : une poétique.", Extrait de la préface de Mohamed Mbougar Sarr.