Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Après les écrits du poète (Tomes 1 et 2), du conteur (Tomes 3 et 4) et du militant révolutionnaire (Tome 5), le sixième tome des œuvres complètes...
Lire la suite
27,05 €
Neuf
Actuellement indisponible
Résumé
Après les écrits du poète (Tomes 1 et 2), du conteur (Tomes 3 et 4) et du militant révolutionnaire (Tome 5), le sixième tome des œuvres complètes de Benjamin Péret permet de découvrir de nouveaux lieux, de nouvelles prospections, de nouveaux domaines, au rendez-vous desquels nous retrouvons intactes la curiosité, toujours en éveil, les passions et les exigences de cet " esprit d'une liberté inaltérable " qu'aura été jusqu'à son dernier souffle l'auteur de Feu central.
De ses séjours au Brésil (1929-1931 et 1955-1956) et au Mexique (1942-1947), Péret rapporta l'essentiel des études à caractère ethnographique, voire historique, qui constituent la majeure partie du présent ouvrage : nombre d'entre elles étaient demeurées inédites en français, certaines devenues inaccessibles et d'autres encore sont publiées pour la première fois. Le surréalisme donc, tel que Péret l'aura su vivre ailleurs et autrement, par intérêt porté aussi bien à des sphères limitrophes qu'à des zones inexplorées, en ces terres d'Amérique et selon les avatars du siècle.
À cette somme s'ajoutent deux ensembles de textes et documents divers qui concernent : les premiers le cinéma, avec une série d'articles du milieu des années vingt et du début des années cinquante, ainsi que le commentaire du film L'invention du monde ; les seconds les arts plastiques, avec préfaces à des expositions de ses amis peintres et sculpteurs, papiers de presse ou de revues ainsi que La vie imagée de Pablo Picasso, bande dessinée dont Péret devait cosigner le " livret " avec André Breton et que publia l'hebdomadaire Arts (du 28 décembre 1951 au 8 février 1952).