Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Mozi (470-390), appelé aussi maître Mô, a vécu un peu après Confucius (570-479) et une génération avant celle d'Aristote (384-322). Figure mal...
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Résumé
Mozi (470-390), appelé aussi maître Mô, a vécu un peu après Confucius (570-479) et une génération avant celle d'Aristote (384-322). Figure mal connue, son œuvre offre une impression très inhabituelle dans le cadre de la tradition philosophique chinoise. Il s'est opposé à Confucius, qui a finalement triomphé, mais sa logique constitue un pont entre la pensée chinoise et la philosophie grecque. Inclassable, son œuvre a provoqué l'hostilité du courant confucéen dominant, la sympathie des savants missionnaires chrétiens pour son monothéisme et l'intérêt de Sun-Yat Sen, sans oublier les communistes, pour sa portée sociale. Ce qui est le plus important et le plus original chez Mozi est son idée de 1'"amour universel" qui n'a guère son équivalent dans l'Antiquité aussi bien en Occident qu'en Orient, les prophètes d'Israël exceptés et avant le christianisme.