Oeuvre poétique. Peintures & dessins

Par : Béatrice Douvre
    • Nombre de pages226
    • PrésentationBroché
    • FormatGrand Format
    • Poids0.48 kg
    • Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 1,4 cm
    • ISBN978-2-35128-108-6
    • EAN9782351281086
    • Date de parution17/09/2015
    • ÉditeurVoix d'encre
    • PréfacierPhilippe Jaccottet

    Résumé

    Vouée toute entière à l'exercice incandescent du poème, Béatrice Douvre (1967-1994) avait confié dans son Journal de Belfort : "J'ai construit des vertiges interminablement", et aussi : "J'ai des chemins de pas tracés sur le visage, moi, ange sans voyage . Météore avide d'absolu, brûlée d'une cécité lucide, elle incarne à sa manière la poésie même, en accomplissant l'une de ses hautes missions : "J'ai baptisé le feuillage, les mains posées sur les perfections éphémères".
    Un unique recueil, sous le titre de Poèmes, a paru en 1998 aux éditions L'Arrière-Pays, et quelques-unes de ses oeuvres ont été publiées au cours de ces dernières années dans les revues Polyphonies, Arpa et Friches. Le présent volume donne à lire, pour la première fois, l'ensemble de son oeuvre poétique, en vers comme en prose. Désormais il est grand temps de se livrer à ces images qui fusent d'un feuillage sombre, de la solitude ; et demain les fulgurants diadèmes de Béatrice Douvre, "l'évadée de l'immense", pourront rougeoyer parmi nos constellations mentales.
    Alain Blanc
    Vouée toute entière à l'exercice incandescent du poème, Béatrice Douvre (1967-1994) avait confié dans son Journal de Belfort : "J'ai construit des vertiges interminablement", et aussi : "J'ai des chemins de pas tracés sur le visage, moi, ange sans voyage . Météore avide d'absolu, brûlée d'une cécité lucide, elle incarne à sa manière la poésie même, en accomplissant l'une de ses hautes missions : "J'ai baptisé le feuillage, les mains posées sur les perfections éphémères".
    Un unique recueil, sous le titre de Poèmes, a paru en 1998 aux éditions L'Arrière-Pays, et quelques-unes de ses oeuvres ont été publiées au cours de ces dernières années dans les revues Polyphonies, Arpa et Friches. Le présent volume donne à lire, pour la première fois, l'ensemble de son oeuvre poétique, en vers comme en prose. Désormais il est grand temps de se livrer à ces images qui fusent d'un feuillage sombre, de la solitude ; et demain les fulgurants diadèmes de Béatrice Douvre, "l'évadée de l'immense", pourront rougeoyer parmi nos constellations mentales.
    Alain Blanc