Numérissime... Modernissime... Virus
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- Nombre de pages128
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.164 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-343-21259-3
- EAN9782343212593
- Date de parution30/09/2020
- CollectionThéâtres
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Au long de ce dialogue théâtral de douze scènes, Philippe Dubourg met en scène nos profondes inquiétudes quant à l'évolution de nos sociétés. La révolution technoscientifique et numérique que nous vivons conduit à une ambivalence tragique, entre les promesses d'une "réalité augmentée" d'un côté, et d'insidieux dangers de l'autre ; le simple art de vivre d'antan n'est plus que nostalgie. La facilité manipulatoire des clics porte à l'excès — à l'hubris— un monde virtuel, jusqu'à la déshumanisation progressive du monde réel.
Qui ne ressent que nous vivons une crise de civilisation à travers une perte de repères et du sens des limites ? Dernièrement, le virus du Covid apparu en 2019 est le symptôme d'un long détraquement que la civilisation occidentale provoque dans l'ensemble de la Nature. L'anthropologue Lévi-Strauss a dénoncé les impasses de la modernité : "L'Homme industriel vit sous un régime d'empoisonnement interne qu'il a fait subir à maints autres peuples qu'il considérait comme sauvages..." La révolution numérique risque de nous conduire vers une techno structure abstraite que le Meilleur des Mondes puis 1984 avaient prophétisée, entraînant un totalitarisme doux, une "servitude volontaire".
L'auteur place son espoir dans un nouvel équilibre entre espaces urbains tournés vers la mondialisation et espaces naturels et ruraux de proximité.
Qui ne ressent que nous vivons une crise de civilisation à travers une perte de repères et du sens des limites ? Dernièrement, le virus du Covid apparu en 2019 est le symptôme d'un long détraquement que la civilisation occidentale provoque dans l'ensemble de la Nature. L'anthropologue Lévi-Strauss a dénoncé les impasses de la modernité : "L'Homme industriel vit sous un régime d'empoisonnement interne qu'il a fait subir à maints autres peuples qu'il considérait comme sauvages..." La révolution numérique risque de nous conduire vers une techno structure abstraite que le Meilleur des Mondes puis 1984 avaient prophétisée, entraînant un totalitarisme doux, une "servitude volontaire".
L'auteur place son espoir dans un nouvel équilibre entre espaces urbains tournés vers la mondialisation et espaces naturels et ruraux de proximité.
Au long de ce dialogue théâtral de douze scènes, Philippe Dubourg met en scène nos profondes inquiétudes quant à l'évolution de nos sociétés. La révolution technoscientifique et numérique que nous vivons conduit à une ambivalence tragique, entre les promesses d'une "réalité augmentée" d'un côté, et d'insidieux dangers de l'autre ; le simple art de vivre d'antan n'est plus que nostalgie. La facilité manipulatoire des clics porte à l'excès — à l'hubris— un monde virtuel, jusqu'à la déshumanisation progressive du monde réel.
Qui ne ressent que nous vivons une crise de civilisation à travers une perte de repères et du sens des limites ? Dernièrement, le virus du Covid apparu en 2019 est le symptôme d'un long détraquement que la civilisation occidentale provoque dans l'ensemble de la Nature. L'anthropologue Lévi-Strauss a dénoncé les impasses de la modernité : "L'Homme industriel vit sous un régime d'empoisonnement interne qu'il a fait subir à maints autres peuples qu'il considérait comme sauvages..." La révolution numérique risque de nous conduire vers une techno structure abstraite que le Meilleur des Mondes puis 1984 avaient prophétisée, entraînant un totalitarisme doux, une "servitude volontaire".
L'auteur place son espoir dans un nouvel équilibre entre espaces urbains tournés vers la mondialisation et espaces naturels et ruraux de proximité.
Qui ne ressent que nous vivons une crise de civilisation à travers une perte de repères et du sens des limites ? Dernièrement, le virus du Covid apparu en 2019 est le symptôme d'un long détraquement que la civilisation occidentale provoque dans l'ensemble de la Nature. L'anthropologue Lévi-Strauss a dénoncé les impasses de la modernité : "L'Homme industriel vit sous un régime d'empoisonnement interne qu'il a fait subir à maints autres peuples qu'il considérait comme sauvages..." La révolution numérique risque de nous conduire vers une techno structure abstraite que le Meilleur des Mondes puis 1984 avaient prophétisée, entraînant un totalitarisme doux, une "servitude volontaire".
L'auteur place son espoir dans un nouvel équilibre entre espaces urbains tournés vers la mondialisation et espaces naturels et ruraux de proximité.