J’attendais la nouvelle trilogie d’Yves Grevet avec impatience, il m’avait déjà complètement conquise avec Méto précédemment et lorsque j’ai découvert Nox, j’étais impatiente … Le premier tome sorti, je me suis dépêchée de l’obtenir pour le lire !
Verdict … Je l’ai lu en très peu de temps, je l’ai dévoré, j’ai été captivée … Nous sommes dans un monde futuriste où les riches ont le droit au soleil tandis que les pauvres sont condamnés à voir dans « la nox », une pollution tellement forte qu’elle cache le soleil et condamne ces personnes à vivre dans le noir. Ils doivent produire leur électricité en marchant, en pédalant, rendant leurs mollets très complexant. On retrouve l’écriture d’Yves Grevet, tout est fluide, réfléchi, rien n’est laissé au hasard et on découvre des réponses au fur et à mesure … J’ai adoré l’histoire des prénoms qui m’a fait sourire et poussé un « ah bah oui ! » … Les personnages sont entiers, attachants, détestables, inquiétants, énervants … Un grand panel, rien n’est vraiment noir ou blanc, on voit les personnages alterner entre le « bien » et le « mal », hésiter, ne pas savoir s’ils font vraiment ce qu’il faut. Un monde passionnant, terrifiant. On a envie de découvrir vite la suite, d’en apprendre plus sur eux, Lucen est un garçon passionnant, j’ai un peu moins accrochée avec Ludmilla mais bon …
La narration est construite autour d’une alternance de point de vue : l’histoire nous est racontée par Lucen – que je considère comme le héros de l’histoire, il est au centre de tout, Ludmilla – habitante de la ville haute, et Gerges – meilleur ami de Lucen qui doit faire face à des choix et qui s’engage dans la milice qui terrorise les habitants. Cette alternance permet de mieux connaître ce monde, de voir tous les aspects d’une même situation, on revient sur la même scène vue par plusieurs personnages, ce qui permet d’expliquer des réactions … Un joli jeu d’écriture.
Un coup de cœur !
J’attendais la nouvelle trilogie d’Yves Grevet avec impatience, il m’avait déjà complètement conquise avec Méto précédemment et lorsque j’ai découvert Nox, j’étais impatiente … Le premier tome sorti, je me suis dépêchée de l’obtenir pour le lire !
Verdict … Je l’ai lu en très peu de temps, je l’ai dévoré, j’ai été captivée … Nous sommes dans un monde futuriste où les riches ont le droit au soleil tandis que les pauvres sont condamnés à voir dans « la nox », une pollution tellement forte qu’elle cache le soleil et condamne ces personnes à vivre dans le noir. Ils doivent produire leur électricité en marchant, en pédalant, rendant leurs mollets très complexant. On retrouve l’écriture d’Yves Grevet, tout est fluide, réfléchi, rien n’est laissé au hasard et on découvre des réponses au fur et à mesure … J’ai adoré l’histoire des prénoms qui m’a fait sourire et poussé un « ah bah oui ! » … Les personnages sont entiers, attachants, détestables, inquiétants, énervants … Un grand panel, rien n’est vraiment noir ou blanc, on voit les personnages alterner entre le « bien » et le « mal », hésiter, ne pas savoir s’ils font vraiment ce qu’il faut. Un monde passionnant, terrifiant. On a envie de découvrir vite la suite, d’en apprendre plus sur eux, Lucen est un garçon passionnant, j’ai un peu moins accrochée avec Ludmilla mais bon …
La narration est construite autour d’une alternance de point de vue : l’histoire nous est racontée par Lucen – que je considère comme le héros de l’histoire, il est au centre de tout, Ludmilla – habitante de la ville haute, et Gerges – meilleur ami de Lucen qui doit faire face à des choix et qui s’engage dans la milice qui terrorise les habitants. Cette alternance permet de mieux connaître ce monde, de voir tous les aspects d’une même situation, on revient sur la même scène vue par plusieurs personnages, ce qui permet d’expliquer des réactions … Un joli jeu d’écriture.
Un coup de cœur !