Edgar Poe (1809-1849) commence à écrire en 1829. Considéré comme un poète maudit, ses écrits cauchemardesques et fantastiques sont aujourd'hui considérés comme précurseurs du surréalisme. C'est grâce aux traductions de Charles Baudelaire qu'il est connu en France.
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- Nombre de pages264
- PrésentationBroché
- FormatPoche
- Poids0.14 kg
- Dimensions11,1 cm × 17,9 cm × 1,4 cm
- ISBN2-253-00433-2
- EAN9782253004332
- Date de parution03/02/2000
- CollectionLe Livre de Poche
- ÉditeurLGF/Livre de Poche
Résumé
L'homme est lui-même et ce qu'il se cache. Ce secret hanta Edgar Poe. Le descendant de la maison Usher qui croit sa soeur morte, l'assassin du chat noir et William Wilson sont victimes de leur double, le cousin de Bérénice l'est de sa névrose obsessionnelle, le peintre du portrait ovale, de son art. Dans ces nouvelles fantastiques, prolongement des Histoires extraordinaires, les cadavres se promènent, un sourire ironique aux lèvres, les femmes sont "belles comme un rêve de pierre", et la mort clôt chaque récit.
L'envoûtement est total, l'horreur atteint son point culminant et pourtant la réalité est là, tangible, pour chasser l'irrationnel. Fasciné par cette oeuvre américaine, Baudelaire l'a traduite admirablement et rendue célèbre dans le monde entier.
L'envoûtement est total, l'horreur atteint son point culminant et pourtant la réalité est là, tangible, pour chasser l'irrationnel. Fasciné par cette oeuvre américaine, Baudelaire l'a traduite admirablement et rendue célèbre dans le monde entier.
L'homme est lui-même et ce qu'il se cache. Ce secret hanta Edgar Poe. Le descendant de la maison Usher qui croit sa soeur morte, l'assassin du chat noir et William Wilson sont victimes de leur double, le cousin de Bérénice l'est de sa névrose obsessionnelle, le peintre du portrait ovale, de son art. Dans ces nouvelles fantastiques, prolongement des Histoires extraordinaires, les cadavres se promènent, un sourire ironique aux lèvres, les femmes sont "belles comme un rêve de pierre", et la mort clôt chaque récit.
L'envoûtement est total, l'horreur atteint son point culminant et pourtant la réalité est là, tangible, pour chasser l'irrationnel. Fasciné par cette oeuvre américaine, Baudelaire l'a traduite admirablement et rendue célèbre dans le monde entier.
L'envoûtement est total, l'horreur atteint son point culminant et pourtant la réalité est là, tangible, pour chasser l'irrationnel. Fasciné par cette oeuvre américaine, Baudelaire l'a traduite admirablement et rendue célèbre dans le monde entier.
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