Nouvelles courtoises occitanes et françaises

Par : Anonyme

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  • Nombre de pages704
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.42 kg
  • Dimensions11,0 cm × 17,8 cm × 2,9 cm
  • ISBN2-253-06661-3
  • EAN9782253066613
  • Date de parution01/02/1997
  • CollectionLettres gothiques
  • ÉditeurLGF/Livre de Poche

Résumé

Marqués du sceau de cette élégance qu'on dit " courtoise ", les récits du XIIIème et du premier XIVème siècle réunis dans ce volume sont comme le développement narratif de thèmes, de situations, d'une sensibilité, propres à la poésie amoureuse. Les uns sont occitans, les autres français. Leur réunion fait ressortir les différences d'esprit et de ton, mais aussi la continuité entre les deux littératures de la France médiévale. Certains sont très connus, comme Aucassin et Nicolelte.
D'autres sont à découvrir. Un perroquet, éloquent messager d'amour, met le feu au château pour ménager à des amants l'occasion d'un bref rendez-vous. L'anneau refusé par une dame est offert à son reflet dans la fontaine. Ces récits ne relèvent pas d'un genre littéraire unique, circonscrit et défini. Mais le même esprit les anime, fait d'une soumission grave et souriante au raffinement des manières et à la violence de l'amour.
De tous émane le même parfum ténu et tenace. Leur réunion permet de découvrir une cohérence cachée de l'art littéraire médiéval.
Marqués du sceau de cette élégance qu'on dit " courtoise ", les récits du XIIIème et du premier XIVème siècle réunis dans ce volume sont comme le développement narratif de thèmes, de situations, d'une sensibilité, propres à la poésie amoureuse. Les uns sont occitans, les autres français. Leur réunion fait ressortir les différences d'esprit et de ton, mais aussi la continuité entre les deux littératures de la France médiévale. Certains sont très connus, comme Aucassin et Nicolelte.
D'autres sont à découvrir. Un perroquet, éloquent messager d'amour, met le feu au château pour ménager à des amants l'occasion d'un bref rendez-vous. L'anneau refusé par une dame est offert à son reflet dans la fontaine. Ces récits ne relèvent pas d'un genre littéraire unique, circonscrit et défini. Mais le même esprit les anime, fait d'une soumission grave et souriante au raffinement des manières et à la violence de l'amour.
De tous émane le même parfum ténu et tenace. Leur réunion permet de découvrir une cohérence cachée de l'art littéraire médiéval.
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