Nous, les Nègres

Par : Malcolm X, Martin Luther King, James Baldwin

Formats :

  • Réservation en ligne avec paiement en magasin :
    • Indisponible pour réserver et payer en magasin
  • Nombre de pages101
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.115 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 0,9 cm
  • ISBN978-2-7071-5439-2
  • EAN9782707154392
  • Date de parution13/03/2008
  • CollectionLa Découverte/Poche
  • ÉditeurLa Découverte
  • TraducteurAndré Chassigneux
  • PréfacierAlbert Memmi

Résumé

" La violence de l'opprimé n'est que le reflet de celle de l'oppresseur. (...) Il n'existe pas plusieurs visages d'opprimés. King, Baldwin et Malcolm X jalonnent le même et implacable itinéraire de la révolte, dont il est rare que le ressort, une fois lâché, ne se détendra pas jusqu'au bout ", écrivait Albert Memmi en 1965, dans la présentation de la première édition de ce livre, public aux Éditions François Maspero. " Il n'y a pas une bonne violence, la nôtre, et une mauvaise, celle des autres " écrit dans la présente édition l'auteur du Portrait de décolonisé. Car, plus de quarante ans après, la question de l'oppression et de la violence qu'elle suscite est toujours présente, dans le tiers monde comme dans les cités ghettos des métropoles du Nord. D'où l'intérêt de lire (ou relire) aujourd'hui ces entretiens, diffusés en 196li par une chaîne de télévision américaine, avec trois des figures marquantes des mouvements noirs américains des années 1960 : l'écrivain James Baldwin (1924-1987). " déchiré, intelligent et passionné, qui comprend tout et pardonne beaucoup " ; le " ministre " Malcolm X (né en 1925 et assassiné le 21 février 1965), leader des Musulmans noirs qui " ne comprend plus et ne veut plus comprendre personne " ; et le pasteur Martin Luther King (né en 1929 et assassiné le 4 avril 1968), adepte de la non-violence et de l'amour de l'adversaire. Un document irremplaçable pour comprendre les ressorts de la révolte et penser les moyens d'en finir avec l'oppression.
" La violence de l'opprimé n'est que le reflet de celle de l'oppresseur. (...) Il n'existe pas plusieurs visages d'opprimés. King, Baldwin et Malcolm X jalonnent le même et implacable itinéraire de la révolte, dont il est rare que le ressort, une fois lâché, ne se détendra pas jusqu'au bout ", écrivait Albert Memmi en 1965, dans la présentation de la première édition de ce livre, public aux Éditions François Maspero. " Il n'y a pas une bonne violence, la nôtre, et une mauvaise, celle des autres " écrit dans la présente édition l'auteur du Portrait de décolonisé. Car, plus de quarante ans après, la question de l'oppression et de la violence qu'elle suscite est toujours présente, dans le tiers monde comme dans les cités ghettos des métropoles du Nord. D'où l'intérêt de lire (ou relire) aujourd'hui ces entretiens, diffusés en 196li par une chaîne de télévision américaine, avec trois des figures marquantes des mouvements noirs américains des années 1960 : l'écrivain James Baldwin (1924-1987). " déchiré, intelligent et passionné, qui comprend tout et pardonne beaucoup " ; le " ministre " Malcolm X (né en 1925 et assassiné le 21 février 1965), leader des Musulmans noirs qui " ne comprend plus et ne veut plus comprendre personne " ; et le pasteur Martin Luther King (né en 1929 et assassiné le 4 avril 1968), adepte de la non-violence et de l'amour de l'adversaire. Un document irremplaçable pour comprendre les ressorts de la révolte et penser les moyens d'en finir avec l'oppression.
Le pouvoir noir
4/5
Malcolm X, George Breitman
Poche
13,50 €