Nous avons vu sa gloire. Pour une phénoménologie du Crédo
Par : , ,Formats :
Définitivement indisponible
Cet article ne peut plus être commandé sur notre site (ouvrage épuisé ou plus commercialisé). Il se peut néanmoins que l'éditeur imprime une nouvelle édition de cet ouvrage à l'avenir. Nous vous invitons donc à revenir périodiquement sur notre site.
- Paiement en ligne :
- Livraison à domicile ou en point Mondial Relay indisponible
- Retrait Click and Collect en magasin gratuit
- Réservation en ligne avec paiement en magasin :
- Indisponible pour réserver et payer en magasin
- Nombre de pages302
- PrésentationBroché
- Poids0.378 kg
- Dimensions14,6 cm × 20,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-87299-219-5
- EAN9782872992195
- Date de parution23/05/2012
- CollectionDonner raison
- ÉditeurLessius éditions
Résumé
Ouvert par Jean-Luc Marion, un cycle de dialogues a réuni à
Rome en 2010-2011 des philosophes et des théologiens dans
une démarche inédite. Il s'agissait de parcourir le Credo en le
mettant sur un nouveau métier, celui de la phénoménologie.
Au tournant du XXIe siècle, des théologiens ont en effet
adopté avec rigueur et bonheur la méthode
phénoménologique, qui est d'origine philosophique.
De leur côté, des philosophes ont été poussés par la même méthode en direction de thèmes théologiques. Il était important que les uns et les autres se parlent, sans confusion des genres, dans un cadre intellectuel qui est un laboratoire pour la pensée catholique. "Nous avons vu sa gloire" : le verset de l'évangile de Jean fournit à cette confrontation son lieu symbolique ; il reconduit le philosophe et le théologien à ce qui, de Dieu et de l'homme, ne s'appréhende que phénoménologiquement.
Une initiative conjointe de l'Institut français Centre Saint-Louis (ambassade de France auprès du Saint-Siège) et de l'Université Grégorienne ; Nicolas Bauquet, directeur de l'Institut français, et Paul Gilbert, professeur à la Grégorienne, en ont assuré la direction.
De leur côté, des philosophes ont été poussés par la même méthode en direction de thèmes théologiques. Il était important que les uns et les autres se parlent, sans confusion des genres, dans un cadre intellectuel qui est un laboratoire pour la pensée catholique. "Nous avons vu sa gloire" : le verset de l'évangile de Jean fournit à cette confrontation son lieu symbolique ; il reconduit le philosophe et le théologien à ce qui, de Dieu et de l'homme, ne s'appréhende que phénoménologiquement.
Une initiative conjointe de l'Institut français Centre Saint-Louis (ambassade de France auprès du Saint-Siège) et de l'Université Grégorienne ; Nicolas Bauquet, directeur de l'Institut français, et Paul Gilbert, professeur à la Grégorienne, en ont assuré la direction.
Ouvert par Jean-Luc Marion, un cycle de dialogues a réuni à
Rome en 2010-2011 des philosophes et des théologiens dans
une démarche inédite. Il s'agissait de parcourir le Credo en le
mettant sur un nouveau métier, celui de la phénoménologie.
Au tournant du XXIe siècle, des théologiens ont en effet
adopté avec rigueur et bonheur la méthode
phénoménologique, qui est d'origine philosophique.
De leur côté, des philosophes ont été poussés par la même méthode en direction de thèmes théologiques. Il était important que les uns et les autres se parlent, sans confusion des genres, dans un cadre intellectuel qui est un laboratoire pour la pensée catholique. "Nous avons vu sa gloire" : le verset de l'évangile de Jean fournit à cette confrontation son lieu symbolique ; il reconduit le philosophe et le théologien à ce qui, de Dieu et de l'homme, ne s'appréhende que phénoménologiquement.
Une initiative conjointe de l'Institut français Centre Saint-Louis (ambassade de France auprès du Saint-Siège) et de l'Université Grégorienne ; Nicolas Bauquet, directeur de l'Institut français, et Paul Gilbert, professeur à la Grégorienne, en ont assuré la direction.
De leur côté, des philosophes ont été poussés par la même méthode en direction de thèmes théologiques. Il était important que les uns et les autres se parlent, sans confusion des genres, dans un cadre intellectuel qui est un laboratoire pour la pensée catholique. "Nous avons vu sa gloire" : le verset de l'évangile de Jean fournit à cette confrontation son lieu symbolique ; il reconduit le philosophe et le théologien à ce qui, de Dieu et de l'homme, ne s'appréhende que phénoménologiquement.
Une initiative conjointe de l'Institut français Centre Saint-Louis (ambassade de France auprès du Saint-Siège) et de l'Université Grégorienne ; Nicolas Bauquet, directeur de l'Institut français, et Paul Gilbert, professeur à la Grégorienne, en ont assuré la direction.
