Le livre précédent d'Alain Bosquet, Cent notes pour une solitude, exploitait le "il" : un symbole de la distance, et un moyen de redéfinir les rapports entre l'homme et l'univers, l'homme et le langage, l'homme et lui-même. Notes pour un amour exploite les possibilités du "tu" , sans la présence du "je" : apostrophe, familiarité, dialogue à une inconnue. Bien sûr, il s'agit de poèmes d'amour.
Le livre précédent d'Alain Bosquet, Cent notes pour une solitude, exploitait le "il" : un symbole de la distance, et un moyen de redéfinir les rapports entre l'homme et l'univers, l'homme et le langage, l'homme et lui-même. Notes pour un amour exploite les possibilités du "tu" , sans la présence du "je" : apostrophe, familiarité, dialogue à une inconnue. Bien sûr, il s'agit de poèmes d'amour.