La guerre est une chose trop grave pour la confier à des militaires disait Clémenceau, c’est pourtant une bonne part de la société française de la Première Guerre qui s’avère irrationnelle.
De Poincaré, président de la République, qui déclare qu'il irait jusqu'à recevoir le diable à l'Elysée s'il pouvait l'aider à gagner la guerre, aux poilus attachés à leurs gri-gris, tous baignent dans un climat de superstition hérité de la fin du XIXeme siècle que ressuscite ici J-Y Le Naour.
Un pan méconnu de notre histoire, à considérer pour mieux comprendre.
La guerre est une chose trop grave pour la confier à des militaires disait Clémenceau, c’est pourtant une bonne part de la société française de la Première Guerre qui s’avère irrationnelle.
De Poincaré, président de la République, qui déclare qu'il irait jusqu'à recevoir le diable à l'Elysée s'il pouvait l'aider à gagner la guerre, aux poilus attachés à leurs gri-gris, tous baignent dans un climat de superstition hérité de la fin du XIXeme siècle que ressuscite ici J-Y Le Naour.
Un pan méconnu de notre histoire, à considérer pour mieux comprendre.