Un auteur est toujours « attendu au tournant » après un premier roman bien accueilli par les lecteurs. Ce fut le cas, en ce qui me concerne, pour Les heures silencieuses où la plume de Gaëlle Josse m’avait enchantée. Je ne me suis pas fait prier pour repartir à l’aventure avec son second ouvrage.
Gaëlle Josse change complètement d’univers, d’époque, et, choisit, cette fois, de se mettre dans la peau d’un pianiste reconnu sur les traces d’une femme aimée. L’auteur tente de mettre en parallèle Clara et Robert Schumann, en diffusant ici où là des éléments incitant le lecteur à écouter Schumann au cours de la lecture (ce que j’ai fait bien volontiers, et avec délectation), mais…cela reste assez lointain, et quelque peu frustrant.
La plume de Gaëlle Josse est toujours aussi belle, aussi fine. La musique diffuse harmonieusement au fil des pages. Cependant, je reconnais avoir été un peu moins séduite par ce nouvel opus. Les personnages, plus nombreux, me semblent un peu moins travaillés, un peu plus dans le flou. En revanche, elle semble aller plus loin dans l’intime de nos vies ; ces attitudes que l’on prend, ces mots que l’on dit ou ne dit pas, nos petites ou grandes lâchetés…
La personnalité de François Vallier explique en partie un accueil un peu moins enthousiaste de ma part. « Quand j’y songe, je me dis que je n’aimerais pas trop rencontrer un type comme moi. » Moi non plus !!!
Un auteur est toujours « attendu au tournant » après un premier roman bien accueilli par les lecteurs. Ce fut le cas, en ce qui me concerne, pour Les heures silencieuses où la plume de Gaëlle Josse m’avait enchantée. Je ne me suis pas fait prier pour repartir à l’aventure avec son second ouvrage.
Gaëlle Josse change complètement d’univers, d’époque, et, choisit, cette fois, de se mettre dans la peau d’un pianiste reconnu sur les traces d’une femme aimée. L’auteur tente de mettre en parallèle Clara et Robert Schumann, en diffusant ici où là des éléments incitant le lecteur à écouter Schumann au cours de la lecture (ce que j’ai fait bien volontiers, et avec délectation), mais…cela reste assez lointain, et quelque peu frustrant.
La plume de Gaëlle Josse est toujours aussi belle, aussi fine. La musique diffuse harmonieusement au fil des pages. Cependant, je reconnais avoir été un peu moins séduite par ce nouvel opus. Les personnages, plus nombreux, me semblent un peu moins travaillés, un peu plus dans le flou. En revanche, elle semble aller plus loin dans l’intime de nos vies ; ces attitudes que l’on prend, ces mots que l’on dit ou ne dit pas, nos petites ou grandes lâchetés…
La personnalité de François Vallier explique en partie un accueil un peu moins enthousiaste de ma part. « Quand j’y songe, je me dis que je n’aimerais pas trop rencontrer un type comme moi. » Moi non plus !!!