Noire mémoire
Par :Formats :
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
- Nombre de pages228
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.38 kg
- Dimensions16,0 cm × 24,0 cm × 2,0 cm
- ISBN978-2-84479-242-6
- EAN9782844792426
- Date de parution15/11/2017
- ÉditeurArmançon (Editions de l')
Résumé
Dans le petit bourg tranquille de Bigny, en Nivernais, on croit ou l'on voudrait croire que le vol d'oeuvres sacrées est la cause de la mort de l'abbé Thévot, mais la personnalité du prêtre ouvre aussi la porte à d'autres hypothèses, d'autres mystères. Son frère David, policier lyonnais, va peu à peu les découvrir tout en se confrontant à la fois aux ruptures du passé et à la réalité humaine d'une société rurale actuelle.
Commentant Rouge Campagne, le premier roman de Loïc Le Goff, Gérard Gautier, son éditeur, disait : "…Il faut bien des morts pour parler des vivants." Il pourrait sans doute réitérer ses propos pour ce nouveau récit.
Commentant Rouge Campagne, le premier roman de Loïc Le Goff, Gérard Gautier, son éditeur, disait : "…Il faut bien des morts pour parler des vivants." Il pourrait sans doute réitérer ses propos pour ce nouveau récit.
Dans le petit bourg tranquille de Bigny, en Nivernais, on croit ou l'on voudrait croire que le vol d'oeuvres sacrées est la cause de la mort de l'abbé Thévot, mais la personnalité du prêtre ouvre aussi la porte à d'autres hypothèses, d'autres mystères. Son frère David, policier lyonnais, va peu à peu les découvrir tout en se confrontant à la fois aux ruptures du passé et à la réalité humaine d'une société rurale actuelle.
Commentant Rouge Campagne, le premier roman de Loïc Le Goff, Gérard Gautier, son éditeur, disait : "…Il faut bien des morts pour parler des vivants." Il pourrait sans doute réitérer ses propos pour ce nouveau récit.
Commentant Rouge Campagne, le premier roman de Loïc Le Goff, Gérard Gautier, son éditeur, disait : "…Il faut bien des morts pour parler des vivants." Il pourrait sans doute réitérer ses propos pour ce nouveau récit.