Émile Kenmogne est professeur titulaire d' histoire de la philosophie et de la pensée africaine à l'Université de Yaoundé I au Cameroun. Il est actuellement le doyen de la faculté des lettres et sciences humaines de l'Université de Dschang, et Secrétaire général du Cercle camerounais de philosophie (CERCAPHI) présidé et fondé par E. Njoh Mouelle. Emmanuel Malolo Dissakè est professeur titulaire de logique et d' épistémologie à l'Université de Douala (Cameroun) où il enseigne. Il est auteur d'une quarantaine d'articles et d'une douzaine d'ouvrages parmi lesquels Feyerabend, Epistémologie, anarchisme et société libre (PUF 2001), spécialisé dans l' histoire de la philosophie des sciences et des techniques.
Nkolo Foe et le postcolonialisme. 3
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- Nombre de pages160
- PrésentationBroché
- Poids0.195 kg
- Dimensions14,8 cm × 21,0 cm × 0,9 cm
- ISBN978-2-37369-114-6
- EAN9782373691146
- Date de parution06/09/2023
- CollectionDIANOIA
- ÉditeurDianoïa
Résumé
Les Cameroonian Studies in Philosophy entendent renouer avec l'ambition de penser l'Afrique. La revue s'offre comme support à l'élaboration de la réflexion tournée vers le continent africain. Son assise philosophique, qui ne l'empêche en rien de recevoir des recherches appuyées sur d'autres sciences, lui permet d'accueillir aussi bien des travaux techniques de détail de la philosophie que les réflexions les plus générales.
L'évolution de la philosophie a besoin de discussions sur des questions conceptuelles souvent absconses qu'interdisent les supports généralistes et qu'excluent les revues de sciences sociales qui seules acceptent de faire une place à la philosophie africaine. La revue n'hésitera pas à en accueillir, autant que des réflexions de portée plus générale. La philosophie africaine qu'entend défendre la revue est l'héritière de toutes les philosophies du monde quels que soient le lieu et l'époque de son élaboration.
La seule insistance est que la réflexion soit tournée vers les Africains, en un sens large. La CSP n'entend pas dire par avance ce qui est africain ou ne l'est pas. Elle accueille donc aussi bien Platon que Confucius, Descartes que Wiredu ; elle s'ouvre aussi bien à l'étantité de l'étant qu'au cosmopolitisme dans un monde d'étrangers ou au sexe de l'Etat, pourvu qu'il y ait en un sens large, intention d'Afrique.
L'évolution de la philosophie a besoin de discussions sur des questions conceptuelles souvent absconses qu'interdisent les supports généralistes et qu'excluent les revues de sciences sociales qui seules acceptent de faire une place à la philosophie africaine. La revue n'hésitera pas à en accueillir, autant que des réflexions de portée plus générale. La philosophie africaine qu'entend défendre la revue est l'héritière de toutes les philosophies du monde quels que soient le lieu et l'époque de son élaboration.
La seule insistance est que la réflexion soit tournée vers les Africains, en un sens large. La CSP n'entend pas dire par avance ce qui est africain ou ne l'est pas. Elle accueille donc aussi bien Platon que Confucius, Descartes que Wiredu ; elle s'ouvre aussi bien à l'étantité de l'étant qu'au cosmopolitisme dans un monde d'étrangers ou au sexe de l'Etat, pourvu qu'il y ait en un sens large, intention d'Afrique.
Les Cameroonian Studies in Philosophy entendent renouer avec l'ambition de penser l'Afrique. La revue s'offre comme support à l'élaboration de la réflexion tournée vers le continent africain. Son assise philosophique, qui ne l'empêche en rien de recevoir des recherches appuyées sur d'autres sciences, lui permet d'accueillir aussi bien des travaux techniques de détail de la philosophie que les réflexions les plus générales.
L'évolution de la philosophie a besoin de discussions sur des questions conceptuelles souvent absconses qu'interdisent les supports généralistes et qu'excluent les revues de sciences sociales qui seules acceptent de faire une place à la philosophie africaine. La revue n'hésitera pas à en accueillir, autant que des réflexions de portée plus générale. La philosophie africaine qu'entend défendre la revue est l'héritière de toutes les philosophies du monde quels que soient le lieu et l'époque de son élaboration.
La seule insistance est que la réflexion soit tournée vers les Africains, en un sens large. La CSP n'entend pas dire par avance ce qui est africain ou ne l'est pas. Elle accueille donc aussi bien Platon que Confucius, Descartes que Wiredu ; elle s'ouvre aussi bien à l'étantité de l'étant qu'au cosmopolitisme dans un monde d'étrangers ou au sexe de l'Etat, pourvu qu'il y ait en un sens large, intention d'Afrique.
L'évolution de la philosophie a besoin de discussions sur des questions conceptuelles souvent absconses qu'interdisent les supports généralistes et qu'excluent les revues de sciences sociales qui seules acceptent de faire une place à la philosophie africaine. La revue n'hésitera pas à en accueillir, autant que des réflexions de portée plus générale. La philosophie africaine qu'entend défendre la revue est l'héritière de toutes les philosophies du monde quels que soient le lieu et l'époque de son élaboration.
La seule insistance est que la réflexion soit tournée vers les Africains, en un sens large. La CSP n'entend pas dire par avance ce qui est africain ou ne l'est pas. Elle accueille donc aussi bien Platon que Confucius, Descartes que Wiredu ; elle s'ouvre aussi bien à l'étantité de l'étant qu'au cosmopolitisme dans un monde d'étrangers ou au sexe de l'Etat, pourvu qu'il y ait en un sens large, intention d'Afrique.