Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
La vie artistique de l'Europe du XVIIIe siècle a été marquée par la constitution d'importantes collections d'œuvres d'art, qui contribuèrent par...
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Résumé
La vie artistique de l'Europe du XVIIIe siècle a été marquée par la constitution d'importantes collections d'œuvres d'art, qui contribuèrent par la suite au développement des musées au XIXe siècle. Les Esterhazy s'étaient intéressés à l'art dès le début du XVIIe siècle. Le plus grand collectionneur de cette prestigieuse famille fut le prince Nicolas II (1765-1833) qui se passionna avant tout pour la peinture, le dessin et la gravure, et constitua l'une des plus importantes collections d'art de Hongrie et de l'empire autrichien. Cette collection fut vendue en 1870 à l'Etat hongrois naissant, et devint ainsi l'un des principaux fonds de l'actuel musée des Beaux-Arts de Budapest. L'exposition présentée au château de Compiègne de Budapest réunit plus de deux cents œuvres offrant un panorama extrêmement varié de la production artistique européenne du XVIe siècle, et témoignant des goûts affirmés qui distinguèrent les Esterhazy de leurs contemporains. Elle présente notamment un remarquable ensemble de peintures italiennes (Véronèse, Bellotto), françaises (Bourdon, Le Lorrain), espagnoles (Ribera), flamandes et hollandaises. Dessins gravures, objets d'art, mais aussi livres et partitions complètent le portrait d'un prince éclairé. Cette présentation offre une occasion unique de découvrir des chefs-d'œuvre du musée des Beaux-Arts de Budapest et de la Fondation Esterhazy à Eisenstadt, dont les richesses restent trop peu connues en France