Nicolas Beaurepaire

Par : Gérard Lesage

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  • Nombre de pages249
  • PrésentationBroché
  • Poids0.515 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,6 cm
  • ISBN978-2-84712-475-0
  • EAN9782847124750
  • Date de parution20/12/2015
  • CollectionDans les pas
  • ÉditeurPetit Pavé (Editions Le)
  • PréfacierPierre-Yves Beaurepaire

Résumé

Dans la nuit du 1er au 2 septembre 1792, un coup de feu retentit dans l'appartement qu'occupe, à l'hôtel de ville de Verdun, Nicolas Beaurepaire, commandant de la place assiégée par les troupes du duc de Brunswick. Suicide, comme le décrète le chirurgien chargé du constat ? Meurtre, comme certains l'affirmeront par la suite ? Une énigme de l'Histoire dont ce livre présente les diverses facettes. Par sa mort tragique, Beaurepaire entre dans la légende.
Il devient celui qui "aima mieux se donner la mort que de capituler avec les tyrans". Mais avant d'être le premier héros célébré par la toute jeune République française, il était un homme plutôt ordinaire dont Gérard Lesage nous invite à suivre les pas. Fils d'un épicier de Coulommiers, tôt engagé dans le corps des carabiniers de Monsieur où il passe, lentement, par tous les grades, il devient, en 1776, un notable rural par l'effet d'un beau mariage en province d'Anjou.
Avant que la Révolution ne l'amène à prendre la tête du 1er bataillon des volontaires de Maine-et-Loire. C'est à ce titre que, "par les circonstances" comme il se plaisait à le dire, il devient, bien malgré lui, commandant militaire de Verdun, une place délaissée par l'état-major français, tout à ses manoeuvres préparatoires à la bataille de Valmy. Un rôle subalterne où l'attendaient la mort et la gloire.
Dans la nuit du 1er au 2 septembre 1792, un coup de feu retentit dans l'appartement qu'occupe, à l'hôtel de ville de Verdun, Nicolas Beaurepaire, commandant de la place assiégée par les troupes du duc de Brunswick. Suicide, comme le décrète le chirurgien chargé du constat ? Meurtre, comme certains l'affirmeront par la suite ? Une énigme de l'Histoire dont ce livre présente les diverses facettes. Par sa mort tragique, Beaurepaire entre dans la légende.
Il devient celui qui "aima mieux se donner la mort que de capituler avec les tyrans". Mais avant d'être le premier héros célébré par la toute jeune République française, il était un homme plutôt ordinaire dont Gérard Lesage nous invite à suivre les pas. Fils d'un épicier de Coulommiers, tôt engagé dans le corps des carabiniers de Monsieur où il passe, lentement, par tous les grades, il devient, en 1776, un notable rural par l'effet d'un beau mariage en province d'Anjou.
Avant que la Révolution ne l'amène à prendre la tête du 1er bataillon des volontaires de Maine-et-Loire. C'est à ce titre que, "par les circonstances" comme il se plaisait à le dire, il devient, bien malgré lui, commandant militaire de Verdun, une place délaissée par l'état-major français, tout à ses manoeuvres préparatoires à la bataille de Valmy. Un rôle subalterne où l'attendaient la mort et la gloire.