Ni enfant, ni rossignol
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- Nombre de pages54
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.115 kg
- Dimensions15,0 cm × 20,0 cm × 0,7 cm
- ISBN978-2-84809-255-3
- EAN9782848092553
- Date de parution01/11/2015
- ÉditeurJoca Seria
Résumé
Dans Ni enfant, ni rossignol, Virginie Gautier évoque l’expérience sensible de sa rencontre avec le Lac de Grand-Lieu. Par le texte et le dessin, elle ouvre le lieu. Elle révèle les traces parfois imperceptibles, des lignes, des errances, des passages pour construire un espace plus grand que le lieu lui-même. Un labyrinthe aquatique et végétal peuplé d’enfants : sauvages, imaginaires et réels ; d’adolescents, de danseurs, d’oiseaux, de personnages mythologiques ou de promeneurs qui se croisent sans se voir.
Avec Ni enfant, ni rossignol, Virginie Gautier poursuit son travail sur les liens indissociables entre le corps et le paysage qu’elle a déjà abordés dans Les zones ignorées et Les yeux fermés, les yeux ouverts. «Sur l’îlot minuscule, l’adolescent si bien caché regarde le reflet du ciel. La mousse, près de l’écran d’eau douce, transpercée par les joncs. Joute des joncs dans l’eau. Pendant que les poissons collent leurs bouches à la peau de ses doigts.
Vision où défilent des nuages chargés de feuilles neuves, très pâles. Ses yeux s’emplissent de buées. Les nuages s’amarrent, s’émoussent, se transforment. Se divisent, s’éparpillent. L’oeil s’y perd, n’y reconnaît pas son chemin, n’y cherche rien, s’abreuve du fugace, de l’aperçu, de la fragilité des formes. Voir, c’est comme boire, comme avaler. Le garçon adolescent est enivré, complètement repu».
Avec Ni enfant, ni rossignol, Virginie Gautier poursuit son travail sur les liens indissociables entre le corps et le paysage qu’elle a déjà abordés dans Les zones ignorées et Les yeux fermés, les yeux ouverts. «Sur l’îlot minuscule, l’adolescent si bien caché regarde le reflet du ciel. La mousse, près de l’écran d’eau douce, transpercée par les joncs. Joute des joncs dans l’eau. Pendant que les poissons collent leurs bouches à la peau de ses doigts.
Vision où défilent des nuages chargés de feuilles neuves, très pâles. Ses yeux s’emplissent de buées. Les nuages s’amarrent, s’émoussent, se transforment. Se divisent, s’éparpillent. L’oeil s’y perd, n’y reconnaît pas son chemin, n’y cherche rien, s’abreuve du fugace, de l’aperçu, de la fragilité des formes. Voir, c’est comme boire, comme avaler. Le garçon adolescent est enivré, complètement repu».
Dans Ni enfant, ni rossignol, Virginie Gautier évoque l’expérience sensible de sa rencontre avec le Lac de Grand-Lieu. Par le texte et le dessin, elle ouvre le lieu. Elle révèle les traces parfois imperceptibles, des lignes, des errances, des passages pour construire un espace plus grand que le lieu lui-même. Un labyrinthe aquatique et végétal peuplé d’enfants : sauvages, imaginaires et réels ; d’adolescents, de danseurs, d’oiseaux, de personnages mythologiques ou de promeneurs qui se croisent sans se voir.
Avec Ni enfant, ni rossignol, Virginie Gautier poursuit son travail sur les liens indissociables entre le corps et le paysage qu’elle a déjà abordés dans Les zones ignorées et Les yeux fermés, les yeux ouverts. «Sur l’îlot minuscule, l’adolescent si bien caché regarde le reflet du ciel. La mousse, près de l’écran d’eau douce, transpercée par les joncs. Joute des joncs dans l’eau. Pendant que les poissons collent leurs bouches à la peau de ses doigts.
Vision où défilent des nuages chargés de feuilles neuves, très pâles. Ses yeux s’emplissent de buées. Les nuages s’amarrent, s’émoussent, se transforment. Se divisent, s’éparpillent. L’oeil s’y perd, n’y reconnaît pas son chemin, n’y cherche rien, s’abreuve du fugace, de l’aperçu, de la fragilité des formes. Voir, c’est comme boire, comme avaler. Le garçon adolescent est enivré, complètement repu».
Avec Ni enfant, ni rossignol, Virginie Gautier poursuit son travail sur les liens indissociables entre le corps et le paysage qu’elle a déjà abordés dans Les zones ignorées et Les yeux fermés, les yeux ouverts. «Sur l’îlot minuscule, l’adolescent si bien caché regarde le reflet du ciel. La mousse, près de l’écran d’eau douce, transpercée par les joncs. Joute des joncs dans l’eau. Pendant que les poissons collent leurs bouches à la peau de ses doigts.
Vision où défilent des nuages chargés de feuilles neuves, très pâles. Ses yeux s’emplissent de buées. Les nuages s’amarrent, s’émoussent, se transforment. Se divisent, s’éparpillent. L’oeil s’y perd, n’y reconnaît pas son chemin, n’y cherche rien, s’abreuve du fugace, de l’aperçu, de la fragilité des formes. Voir, c’est comme boire, comme avaler. Le garçon adolescent est enivré, complètement repu».