Névrosés
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- Nombre de pages250
- PrésentationBroché
- Poids0.335 kg
- Dimensions13,5 cm × 21,5 cm × 1,8 cm
- ISBN978-2-296-96161-6
- EAN9782296961616
- Date de parution01/03/2012
- CollectionPsychanalyse et civilisations
- ÉditeurL'Harmattan
Résumé
Le présent livre est une partie, choisie par l'auteur, d'un
volume beaucoup plus ample de 1898 qui, en plus de Thomas
de Quincey et Gérard de Nerval, opposait Ernst Theodor
Amadeus Hoffmann et Edgard Allan Poe. Mais cette partie
suffit à mettre brillamment en lumière "l'irritante, humiliante
et redoutable question, si souvent posée et jamais résolue, des
rapports du génie et de la folie".
Si de Quincey a tué son génie en empoisonnant son intelligence par l'opium, sans que sa névrose soit à l'origine ni le principe de ses merveilleuses facultés, Gérard Labrunie (dit "Gérard de Nerval") était prédisposé, dès sa naissance, à la folie et semble "avoir dû à son malheur les parties supérieures de son génie ; il n'a été vraiment poète que dans les heures où il n'était pas sain d'esprit".
Si de Quincey a tué son génie en empoisonnant son intelligence par l'opium, sans que sa névrose soit à l'origine ni le principe de ses merveilleuses facultés, Gérard Labrunie (dit "Gérard de Nerval") était prédisposé, dès sa naissance, à la folie et semble "avoir dû à son malheur les parties supérieures de son génie ; il n'a été vraiment poète que dans les heures où il n'était pas sain d'esprit".
Le présent livre est une partie, choisie par l'auteur, d'un
volume beaucoup plus ample de 1898 qui, en plus de Thomas
de Quincey et Gérard de Nerval, opposait Ernst Theodor
Amadeus Hoffmann et Edgard Allan Poe. Mais cette partie
suffit à mettre brillamment en lumière "l'irritante, humiliante
et redoutable question, si souvent posée et jamais résolue, des
rapports du génie et de la folie".
Si de Quincey a tué son génie en empoisonnant son intelligence par l'opium, sans que sa névrose soit à l'origine ni le principe de ses merveilleuses facultés, Gérard Labrunie (dit "Gérard de Nerval") était prédisposé, dès sa naissance, à la folie et semble "avoir dû à son malheur les parties supérieures de son génie ; il n'a été vraiment poète que dans les heures où il n'était pas sain d'esprit".
Si de Quincey a tué son génie en empoisonnant son intelligence par l'opium, sans que sa névrose soit à l'origine ni le principe de ses merveilleuses facultés, Gérard Labrunie (dit "Gérard de Nerval") était prédisposé, dès sa naissance, à la folie et semble "avoir dû à son malheur les parties supérieures de son génie ; il n'a été vraiment poète que dans les heures où il n'était pas sain d'esprit".