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  • Nombre de pages250
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.36 kg
  • Dimensions14,5 cm × 20,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-494780-09-5
  • EAN9782494780095
  • Date de parution07/05/2024
  • ÉditeurL'éditeur à part

Résumé

L'ouvrage propose une réflexion sur la complexité de porter son identité. Sous une forme romancée, l'auteur prend acte de l'Histoire, et transpose une histoire d'amour avec des défis pour la narratrice. Dans une période tumultueuse qu'est la Seconde Guerre mondiale et l'exode des Juifs, la création de l'Etat d'Israël, Philippe Zaouati explore, avec subtilité, les thèmes liés à l'immigration, la construction de l'Etat d'Israël, la recherche d'identité et la tentative de surmonter les traumatismes du passé.
La narratrice avait quitté Sofia pour faire des études de droit à Paris. Alors qu'elle assiste aux funérailles de son ancien amour au kibboutz Sasa, dans le nord de la Galilée d'Israël, un paquet de lettres lui est remis. Avant de prendre connaissance de ces correspondances, elle va tenter d'en savoir plus sur " son " Joseph. De la Seconde Guerre mondiale aux années 60, nous la suivons de Paris à Prague en passant par Haïfa, Istanbul, Sofia et Tel Aviv.
Le lecteur est convié à explorer avec elle les mystères de son passé impliquant Ava, Norbert et Tomislav. La lecture des lettres lui apportera-t-elle une réponse ? Après les révélations de son histoire, comment avancer ? Saura-t-elle vivre libre et sans amour, ou revenir à l'essentiel ? Est-on réellement libre lorsque l'on fuit la réalité ? La fuite est-elle une solution ? Certes, 'Naufrages' évoque l'histoire tragique du navire Struma où des centaines de Juifs ont péri, mais son titre au pluriel suggère une portée qui dépasse cet événement précis, explorant des naufrages bien plus vastes et profonds.
L'ouvrage propose une réflexion sur la complexité de porter son identité. Sous une forme romancée, l'auteur prend acte de l'Histoire, et transpose une histoire d'amour avec des défis pour la narratrice. Dans une période tumultueuse qu'est la Seconde Guerre mondiale et l'exode des Juifs, la création de l'Etat d'Israël, Philippe Zaouati explore, avec subtilité, les thèmes liés à l'immigration, la construction de l'Etat d'Israël, la recherche d'identité et la tentative de surmonter les traumatismes du passé.
La narratrice avait quitté Sofia pour faire des études de droit à Paris. Alors qu'elle assiste aux funérailles de son ancien amour au kibboutz Sasa, dans le nord de la Galilée d'Israël, un paquet de lettres lui est remis. Avant de prendre connaissance de ces correspondances, elle va tenter d'en savoir plus sur " son " Joseph. De la Seconde Guerre mondiale aux années 60, nous la suivons de Paris à Prague en passant par Haïfa, Istanbul, Sofia et Tel Aviv.
Le lecteur est convié à explorer avec elle les mystères de son passé impliquant Ava, Norbert et Tomislav. La lecture des lettres lui apportera-t-elle une réponse ? Après les révélations de son histoire, comment avancer ? Saura-t-elle vivre libre et sans amour, ou revenir à l'essentiel ? Est-on réellement libre lorsque l'on fuit la réalité ? La fuite est-elle une solution ? Certes, 'Naufrages' évoque l'histoire tragique du navire Struma où des centaines de Juifs ont péri, mais son titre au pluriel suggère une portée qui dépasse cet événement précis, explorant des naufrages bien plus vastes et profonds.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

3/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
Lourd passé
On est loin du monde de la finance et des banques comme pour le premier roman de Philippe Zaouati, mais au final, ce titre est proche tout de même car le destin d'une vie peut être fort tortueux et déjà, il avait été question de trajectoire de vie dans "La fumée qui gronde". La mise en page choisie est un peu austère. Cela ne m'ennuie pas car ce récit ne nécessite pas particulièrement de fioritures, cependant le manque d'aération dans le texte amène une impression de fouillis, d'accumulations de détails et de tranches de vie pas forcément bien rangé donc. On s'y retrouve un peu noyé. Comme la narratrice, on peine à y voir clair. Faut aussi dire que les années d'après guerre ne sont pas si faciles. Il faut y trouver sa place avec tous ces absents et ces effets de communautés. Et puis le passé est lourd. On ressent cette pesanteur d'ailleurs aussi dans le style d'écriture. C'est un sentiment qui est toujours là. C'est constant et j'ai trouvé cela troublant. Ce récit n'est pas complètement fictif. Il y a également un gros effort de documentation. C'est un roman fouillé, travaillé et je dirai sans doute personnel dans le sens où ce texte est lourd de sens. (Voir aussi la dédicace de l'auteur pour son épouse ). J'aurai voulu pouvoir m'y immerger plus, mais je n'ai pas réussi. Je suis restée en surface, simple spectatrice et j'ai bien senti que je passais à côté de quelque chose qui m'échappait. C'est frustrant et en même temps je sais bien que l'on ne parvient pas systématiquement à entrer en communion avec un texte et ce pour diverses raisons. Dommage pour moi.
On est loin du monde de la finance et des banques comme pour le premier roman de Philippe Zaouati, mais au final, ce titre est proche tout de même car le destin d'une vie peut être fort tortueux et déjà, il avait été question de trajectoire de vie dans "La fumée qui gronde". La mise en page choisie est un peu austère. Cela ne m'ennuie pas car ce récit ne nécessite pas particulièrement de fioritures, cependant le manque d'aération dans le texte amène une impression de fouillis, d'accumulations de détails et de tranches de vie pas forcément bien rangé donc. On s'y retrouve un peu noyé. Comme la narratrice, on peine à y voir clair. Faut aussi dire que les années d'après guerre ne sont pas si faciles. Il faut y trouver sa place avec tous ces absents et ces effets de communautés. Et puis le passé est lourd. On ressent cette pesanteur d'ailleurs aussi dans le style d'écriture. C'est un sentiment qui est toujours là. C'est constant et j'ai trouvé cela troublant. Ce récit n'est pas complètement fictif. Il y a également un gros effort de documentation. C'est un roman fouillé, travaillé et je dirai sans doute personnel dans le sens où ce texte est lourd de sens. (Voir aussi la dédicace de l'auteur pour son épouse ). J'aurai voulu pouvoir m'y immerger plus, mais je n'ai pas réussi. Je suis restée en surface, simple spectatrice et j'ai bien senti que je passais à côté de quelque chose qui m'échappait. C'est frustrant et en même temps je sais bien que l'on ne parvient pas systématiquement à entrer en communion avec un texte et ce pour diverses raisons. Dommage pour moi.
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