Nature body skin. Architectures by Hérault Arnod
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- Nombre de pages260
- PrésentationRelié
- Poids1.75 kg
- Dimensions22,5 cm × 28,5 cm × 3,1 cm
- ISBN978-2-915542-31-8
- EAN9782915542318
- Date de parution25/08/2010
- ÉditeurNorma éditions
- TraducteurJean Duriau
- TraducteurJohn Crisp
Résumé
Plus que des thèmes de travail, la nature, le corps et la peau sont pour Isabel Hérault et Yves Arnod la matière même de l'architecture : la nature dans laquelle elle se fond et à laquelle elle se confronte ; le corps qui lui donne sensualité et mouvement, qu'elle incarne et protège ; la peau, son interface avec la ville et le paysage, Chaque projet est pour eux matière à expérimentation. Influencées par la force des paysages des Alpes de leur enfance, leurs architectures, entre métamorphose et création, s'élaborent à partir des énergies présentes dans les milieux, cherchant à établir une complicité inventive avec un " déjà-là ". Au-delà de leur relation au paysage, elles établissent des connexions à la fois physiques et symboliques dans la fabrication de nouveaux écosystèmes où le bâtiment trouve sa place, en équilibre entre nature et artefact, enracinement et autonomie de la forme, mimétisme et étrangeté. Les tracés et les espaces sont fluides, fonctionnels et poétiques, cherchant à éveiller les sens. Ces architectures jubilatoires puisent leur dynamique dans des déplacements et des imaginaires à la fois archaïques et anticipateurs. Ponctuant la présentation des projets, trois textes sous forme de livrets traitent de l'alliance entre architecture et environnement à la base de leur réflexion d'architectes : " L'ambivalence dans la peau " par Francis Rambert, critique d'architecture et directeur de l'Institut français d'architecture ; " TransArchitectures " par Chris Younès, psychosociologue et philosophe ; et enfin " La machine, le fossile et le jardin " où Fabiola Lôpez-Duràn, historienne de l'architecture, part de ces étranges organismes séduits par la nature que sont les phasmes et les cirripèdes, pour parler du rapport entre soi et l'autre, primordial en architecture.
Plus que des thèmes de travail, la nature, le corps et la peau sont pour Isabel Hérault et Yves Arnod la matière même de l'architecture : la nature dans laquelle elle se fond et à laquelle elle se confronte ; le corps qui lui donne sensualité et mouvement, qu'elle incarne et protège ; la peau, son interface avec la ville et le paysage, Chaque projet est pour eux matière à expérimentation. Influencées par la force des paysages des Alpes de leur enfance, leurs architectures, entre métamorphose et création, s'élaborent à partir des énergies présentes dans les milieux, cherchant à établir une complicité inventive avec un " déjà-là ". Au-delà de leur relation au paysage, elles établissent des connexions à la fois physiques et symboliques dans la fabrication de nouveaux écosystèmes où le bâtiment trouve sa place, en équilibre entre nature et artefact, enracinement et autonomie de la forme, mimétisme et étrangeté. Les tracés et les espaces sont fluides, fonctionnels et poétiques, cherchant à éveiller les sens. Ces architectures jubilatoires puisent leur dynamique dans des déplacements et des imaginaires à la fois archaïques et anticipateurs. Ponctuant la présentation des projets, trois textes sous forme de livrets traitent de l'alliance entre architecture et environnement à la base de leur réflexion d'architectes : " L'ambivalence dans la peau " par Francis Rambert, critique d'architecture et directeur de l'Institut français d'architecture ; " TransArchitectures " par Chris Younès, psychosociologue et philosophe ; et enfin " La machine, le fossile et le jardin " où Fabiola Lôpez-Duràn, historienne de l'architecture, part de ces étranges organismes séduits par la nature que sont les phasmes et les cirripèdes, pour parler du rapport entre soi et l'autre, primordial en architecture.