Napoli Sublime

Par : Florian Villain-Carapella
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  • Nombre de pages110
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.175 kg
  • Dimensions13,0 cm × 20,1 cm × 0,8 cm
  • ISBN978-2-35687-890-8
  • EAN9782356878908
  • Date de parution02/12/2022
  • CollectionLa Muette
  • ÉditeurLe Bord de l'eau
  • PréfacierMarc Goldschmit
  • PostfacierPhilippe Villain
  • PhotographeJean-luc Dubin

Résumé

Un voyage hors-norme dans la ville de Naples. Une conversation entre photographie et sociologie. Les photographies napolitaines de Jean-Luc Dubin se gardent des clichés véhiculés sur Naples. C'est dans les sous-sols du centre historique qu'il a récolté des traces d'une dévotion populaire, celle d'un culte du Purgatoire, un culte des crânes qui, jusque dans les années 1980, se pratiquait en cachette.
C'est parce rapport invisible et surnaturel avec des âmes mendiantes et anonymes, qu'il a rencontré Naples et ses habitants. Le texte de Florian Villain insiste sur la portée sociale de ce rapport populaire au sacré qu'il met ici en regard de l'adoration de Maradona. A Naples, l'expérience esthétique authentique et véritable est de l'ordre du sublime, non pas en ce qu'elle s'accomplirait dans l'exaltation et le dépassement du doux plaisir des sens, mais, à l'inverse, en ce qu'elle ne peut s'accomplir que dans leur silence pour enfin se mettre à la disposition de la profondeur de ce qui se trame en deçà du visible.
Un voyage hors-norme dans la ville de Naples. Une conversation entre photographie et sociologie. Les photographies napolitaines de Jean-Luc Dubin se gardent des clichés véhiculés sur Naples. C'est dans les sous-sols du centre historique qu'il a récolté des traces d'une dévotion populaire, celle d'un culte du Purgatoire, un culte des crânes qui, jusque dans les années 1980, se pratiquait en cachette.
C'est parce rapport invisible et surnaturel avec des âmes mendiantes et anonymes, qu'il a rencontré Naples et ses habitants. Le texte de Florian Villain insiste sur la portée sociale de ce rapport populaire au sacré qu'il met ici en regard de l'adoration de Maradona. A Naples, l'expérience esthétique authentique et véritable est de l'ordre du sublime, non pas en ce qu'elle s'accomplirait dans l'exaltation et le dépassement du doux plaisir des sens, mais, à l'inverse, en ce qu'elle ne peut s'accomplir que dans leur silence pour enfin se mettre à la disposition de la profondeur de ce qui se trame en deçà du visible.