Napoléon intime. Napoléon chez lui, la journée de l'empereur aux Tuileries

Par : Frédéric Masson

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  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • Poids0.42 kg
  • Dimensions14,2 cm × 22,1 cm × 2,6 cm
  • ISBN2-84734-152-8
  • EAN9782847341522
  • Date de parution23/01/2004
  • CollectionBibliothèque napoléonienne
  • ÉditeurTallandier
  • PréfacierJean Tulard

Résumé

Napoléon intime, ou la journée de l'Empereur aux Tuileries. Les appartements, les domestiques, la toilette, le lever, le cabinet de travail, la soirée, le dimanche, la garde robe... " Loin de se limiter aux mémoires, la documentation de l'auteur du Napoléon intime s'étend vies almanachs impériaux - qui donnent l'organisation de la maison de l'Empereur - aux factures des fournisseurs de la Cour - plus révélatrices que bien des documents publics sur les dépenses des Tuileries. Pièces en apparence insignifiantes que celles que réunit Masson, bouts de papier dédaignés par la grande histoire - celle des traités diplomatiques ou des discours parlementaires -, mais cette note de tailleur ou cette lettre d'un maître d'hôtel en disent peut-être plus sur Napoléon que le Moniteur ou un bulletin de la Grande Armée. C'est Lerebours fournissant à l'Empereur des binocles, nous révélant ainsi sa légère myopie ; c'est une apostille qui nous le montre refaisant les calculs d'une facture. anodine comme s'il épluchait le budget général de l'Etat. (... ) Ce Napoléon dégustant des crépinettes de perdreaux ou changeant trois fois de linge dans sa journée a pris place à côté du sombre génie romantique peint par Chateaubriand, du cadet frustré psychanalysé par Freud ou de l'implacable destructeur de la féodalité cher à Marx. " Jean Tulard.
Napoléon intime, ou la journée de l'Empereur aux Tuileries. Les appartements, les domestiques, la toilette, le lever, le cabinet de travail, la soirée, le dimanche, la garde robe... " Loin de se limiter aux mémoires, la documentation de l'auteur du Napoléon intime s'étend vies almanachs impériaux - qui donnent l'organisation de la maison de l'Empereur - aux factures des fournisseurs de la Cour - plus révélatrices que bien des documents publics sur les dépenses des Tuileries. Pièces en apparence insignifiantes que celles que réunit Masson, bouts de papier dédaignés par la grande histoire - celle des traités diplomatiques ou des discours parlementaires -, mais cette note de tailleur ou cette lettre d'un maître d'hôtel en disent peut-être plus sur Napoléon que le Moniteur ou un bulletin de la Grande Armée. C'est Lerebours fournissant à l'Empereur des binocles, nous révélant ainsi sa légère myopie ; c'est une apostille qui nous le montre refaisant les calculs d'une facture. anodine comme s'il épluchait le budget général de l'Etat. (... ) Ce Napoléon dégustant des crépinettes de perdreaux ou changeant trois fois de linge dans sa journée a pris place à côté du sombre génie romantique peint par Chateaubriand, du cadet frustré psychanalysé par Freud ou de l'implacable destructeur de la féodalité cher à Marx. " Jean Tulard.