Nancy, liberté. Notes et impressions - 1918
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- Nombre de pages132
- PrésentationBroché
- FormatGrand Format
- Poids0.5 kg
- Dimensions2,1 cm × 0,2 cm × 0,1 cm
- ISBN978-2-35763-222-6
- EAN9782357632226
- Date de parution01/08/2025
- ÉditeurGérard Louis
Résumé
Ce journal d’un civil nancéien a été tenu chaque jour du 27 mars 1918 au 25 juillet 1918. C’est un véritable trésor d’informations, parce que le scripteur est d’abord attentif à ce qui le concerne dans son quotidien : tickets de rationnement, venue des Américains à Nancy, trains bondés pour rejoindre sa famille à l’abri dans l’arrière-pays, couvre-feu… mais il se révèle également un fin observateur de l’atmosphère de ce Nancy dévasté, bombardé : un avion ennemi abattu exposé place Stanislas, une soirée lugubre dans les caves, les rues sombres désertées le soir, toute lumière étant prohibée.
Nous le suivons à travers espoirs et désespoirs au fil des communiqués qu’il déchiffre avidement. Ses indications des batailles et mouvements militaires raviront les historiens pour leur précision. Et cependant, ce carnet reste très mystérieux : qui l’a écrit ? Quelle était la profession de ce fin érudit ? Pourquoi n’était-il pas sur le front ? Tous ces éléments font de ce carnet une lecture captivante tout autant que instructive.
Nous le suivons à travers espoirs et désespoirs au fil des communiqués qu’il déchiffre avidement. Ses indications des batailles et mouvements militaires raviront les historiens pour leur précision. Et cependant, ce carnet reste très mystérieux : qui l’a écrit ? Quelle était la profession de ce fin érudit ? Pourquoi n’était-il pas sur le front ? Tous ces éléments font de ce carnet une lecture captivante tout autant que instructive.
Ce journal d’un civil nancéien a été tenu chaque jour du 27 mars 1918 au 25 juillet 1918. C’est un véritable trésor d’informations, parce que le scripteur est d’abord attentif à ce qui le concerne dans son quotidien : tickets de rationnement, venue des Américains à Nancy, trains bondés pour rejoindre sa famille à l’abri dans l’arrière-pays, couvre-feu… mais il se révèle également un fin observateur de l’atmosphère de ce Nancy dévasté, bombardé : un avion ennemi abattu exposé place Stanislas, une soirée lugubre dans les caves, les rues sombres désertées le soir, toute lumière étant prohibée.
Nous le suivons à travers espoirs et désespoirs au fil des communiqués qu’il déchiffre avidement. Ses indications des batailles et mouvements militaires raviront les historiens pour leur précision. Et cependant, ce carnet reste très mystérieux : qui l’a écrit ? Quelle était la profession de ce fin érudit ? Pourquoi n’était-il pas sur le front ? Tous ces éléments font de ce carnet une lecture captivante tout autant que instructive.
Nous le suivons à travers espoirs et désespoirs au fil des communiqués qu’il déchiffre avidement. Ses indications des batailles et mouvements militaires raviront les historiens pour leur précision. Et cependant, ce carnet reste très mystérieux : qui l’a écrit ? Quelle était la profession de ce fin érudit ? Pourquoi n’était-il pas sur le front ? Tous ces éléments font de ce carnet une lecture captivante tout autant que instructive.