La côte nord de la Bretagne, alternant landes, falaises, rochers, bosquets, anses, plages et grèves a été une source d'inspiration pour de nombreux écrivains et philosophes natifs des lieux ou ayant décidé d'y vivre. Du romantisme jusqu'à nos jours, ces individus ont succombé au charme de la côte Armoricaine, puisant leur inspiration de la petite musique des lieux, une mélodie de la mer et du vent propice au "désabonnement universel" (Tristan Corbière).
Sur cette terre sise au bord de la mer souffle un vent immémorial, des notes cosmiques vibrent dans l'air, se mêlant aux cris des mouettes et des goélands. On marche sur les sentiers douaniers sans souci de l'heure, on arpente les grèves de jour comme de nuit, et l'on rentre tout ragaillardi. Dans cette échappée hors du temps, l'on se revivifie au contact de l'élémentaire : le vent, le ciel, les nuages, la lande et surtout la mer, cette grande ordonnatrice du paysage armoricain.
Sur cette côte où la grande marée offre à la vue de vastes étendues découvertes de sables, de roches et d'algues, la mer, avec son incessant va-et-vient, procure un sentiment de liberté et d'indépendance. Goulven Le Brech nous invite à le suivre au sein de ce paysage éternel, en compagnie d'écrivains français et étrangers. Sur la côte d'Emeraude, en Armor, et lors d'excursions à Guernesey et dans la baie de Weymouth, en Grande-Bretagne, il chemine sur leurs pas et vers son propre passé, mêlant impressions, réflexions, souvenirs et rêveries.
La côte nord de la Bretagne, alternant landes, falaises, rochers, bosquets, anses, plages et grèves a été une source d'inspiration pour de nombreux écrivains et philosophes natifs des lieux ou ayant décidé d'y vivre. Du romantisme jusqu'à nos jours, ces individus ont succombé au charme de la côte Armoricaine, puisant leur inspiration de la petite musique des lieux, une mélodie de la mer et du vent propice au "désabonnement universel" (Tristan Corbière).
Sur cette terre sise au bord de la mer souffle un vent immémorial, des notes cosmiques vibrent dans l'air, se mêlant aux cris des mouettes et des goélands. On marche sur les sentiers douaniers sans souci de l'heure, on arpente les grèves de jour comme de nuit, et l'on rentre tout ragaillardi. Dans cette échappée hors du temps, l'on se revivifie au contact de l'élémentaire : le vent, le ciel, les nuages, la lande et surtout la mer, cette grande ordonnatrice du paysage armoricain.
Sur cette côte où la grande marée offre à la vue de vastes étendues découvertes de sables, de roches et d'algues, la mer, avec son incessant va-et-vient, procure un sentiment de liberté et d'indépendance. Goulven Le Brech nous invite à le suivre au sein de ce paysage éternel, en compagnie d'écrivains français et étrangers. Sur la côte d'Emeraude, en Armor, et lors d'excursions à Guernesey et dans la baie de Weymouth, en Grande-Bretagne, il chemine sur leurs pas et vers son propre passé, mêlant impressions, réflexions, souvenirs et rêveries.