Une pure merveille !
Un roman d'une grande beauté, drôle, fin, extrêmement lumineux sur des sujets difficiles : la perte de
l'être aimé, la dureté de la vie et la tristesse qu'on barricade parfois... Elise franco-japonaise,
orpheline de sa maman veut poser LA question à son père et elle en trouvera le courage au fil des pages,
grâce au retour de sa grand-mère du japon, de sa rencontre avec son extravagante amie Stella..
Ensemble il ne diront plus Sayonara mais Mata Ne !
Martino Acquabona voue une haine farouche à Napoléon. Ce fils d'un notable de l'île d'Elbe est épris de liberté, mais c'est aussi un jeune homme...
Lire la suite
Livré chez vous entre le 26 septembre et le 1 octobre
En librairie
Résumé
Martino Acquabona voue une haine farouche à Napoléon. Ce fils d'un notable de l'île d'Elbe est épris de liberté, mais c'est aussi un jeune homme timide et lettré. Lorsque l'Empereur déchu arrive en mai 1814 sur cette petite île au large de la Toscane - seul morceau du pouvoir qui lui reste - Acquabona rêve même de le tuer. Mais l'ironie de l'Histoire voudra qu'il soit nommé bibliothécaire de Napoléon, et placé malgré lui à un poste d'observation idéal au milieu de la cour de l'illustre exilé. Il sera ainsi confronté à un homme qui n'est plus au sommet de la gloire, mais dans une sorte d'entre-deux de l'Histoire qu'il s'emploie à combler par une agitation un peu vaine, par exemple en commandant des travaux disproportionnés, mais aussi en racontant ses faits d'armes à son bibliothécaire. Petit à petit, ce dernier passe de la détestation à la fascination, en dépit de ses convictions politiques, sans pour autant comprendre les vraies intentions de l'Empereur. N. n'est pas seulement une subtile réflexion sur un chapitre peu connu de la geste napoléonienne, sur le bonheur de l'action et sur l'ambition, mais aussi un roman mélancolique et désenchanté, original et captivant.