Mythes grecs, mythes bibliques. L'humain face à ses dieux

Par : Jean-Daniel Causse, Elian Cuvillier

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  • Nombre de pages187
  • PrésentationBroché
  • Poids0.24 kg
  • Dimensions14,0 cm × 22,0 cm × 1,0 cm
  • ISBN978-2-204-08472-7
  • EAN9782204084727
  • Date de parution01/09/2007
  • CollectionLire la Bible
  • ÉditeurCerf

Résumé

Perçu sans lien avec l'histoire et dénué de toute vérité, le mythe est souvent identifié à une fable ou une légende. Les auteurs de cet ouvrage, en se distinguant de cette manière de voir, comprennent le mythe comme rapport singulier à la vérité. Les grands récits de la Bible, comme aussi les textes majeurs de la Grèce antique, sont traversés par la question centrale de savoir comment dire l'origine : l'origine des dieux, du monde, du mal, de la mort, de l'humanité, de l'histoire de chaque individu. Le mythe y répond par un récit, mais un récit qui indique que l'origine n'a pas de commencement chronologique repérable et qu'elle échappe au pouvoir de la langue. C'est pourtant l'impossible à dire que le mythe entend dire, non pour en annuler le caractère indicible, mais pour le saluer et recueillir ses multiples effets imaginaires et langagiers. Quelle fonction attribuer aux mythes ? Les Grecs ont-ils cru à leurs mythes ? Comment opère le mythe biblique dans l'Ancien Testament et dans le Nouveau Testament ? La résurrection du Christ appartient-elle - et si oui, comment - au registre du mythe ? En quoi le mythe est-il le langage d'un événement qui fait origine pour un être humain ? Telles sont quelques-unes des questions traitées, ici par Jean-Daniel Causse, Elian Cuvillier, Patrick Guyomard, Dany Nocquet, Catherine Salles et Pierre Sauzeau.
Perçu sans lien avec l'histoire et dénué de toute vérité, le mythe est souvent identifié à une fable ou une légende. Les auteurs de cet ouvrage, en se distinguant de cette manière de voir, comprennent le mythe comme rapport singulier à la vérité. Les grands récits de la Bible, comme aussi les textes majeurs de la Grèce antique, sont traversés par la question centrale de savoir comment dire l'origine : l'origine des dieux, du monde, du mal, de la mort, de l'humanité, de l'histoire de chaque individu. Le mythe y répond par un récit, mais un récit qui indique que l'origine n'a pas de commencement chronologique repérable et qu'elle échappe au pouvoir de la langue. C'est pourtant l'impossible à dire que le mythe entend dire, non pour en annuler le caractère indicible, mais pour le saluer et recueillir ses multiples effets imaginaires et langagiers. Quelle fonction attribuer aux mythes ? Les Grecs ont-ils cru à leurs mythes ? Comment opère le mythe biblique dans l'Ancien Testament et dans le Nouveau Testament ? La résurrection du Christ appartient-elle - et si oui, comment - au registre du mythe ? En quoi le mythe est-il le langage d'un événement qui fait origine pour un être humain ? Telles sont quelques-unes des questions traitées, ici par Jean-Daniel Causse, Elian Cuvillier, Patrick Guyomard, Dany Nocquet, Catherine Salles et Pierre Sauzeau.
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