Mourir après le jour des rois

Par : Manuel de la Escalera
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  • Nombre de pages208
  • PrésentationBroché
  • FormatGrand Format
  • Poids0.229 kg
  • Dimensions12,0 cm × 20,0 cm × 1,8 cm
  • ISBN978-2-267-03058-7
  • EAN9782267030587
  • Date de parution01/02/2018
  • ÉditeurChristian Bourgois
  • TraducteurMarie-Blanche Requejo Carrio

Résumé

Mourir après le jour des Rois est un chef-d'oeuvre des lettres espagnoles. Il rassemble plusieurs textes que Manuel de la Escalera écrivit en prison entre 1944 et 1962. Le plus long de ces récits est le journal tenu entre le 15 décembre 1944 et le 17 janvier 1945, dans les couloirs de la mort de la prison d'Alcalá de Henares où l'auteur attend d'être fusillé. Car dans l'Espagne catholique, apostolique et romaine du général Franco, on ne fusille pas entre la Nativité et l'Epiphanie.
Alors, durant la trêve, les prisonniers continuent de vivre et attendent le télégramme portant les noms de ceux qui vont mourir, peut-être le leur n'y figurera pas. Les autres récits dressent quelques portraits des compagnons disparus, racontent la captivité. Raconter pour ne pas oublier. Tous ces récits disent la tragédie de la mort et de l'enfermement, l'appétit de vivre, la dignité, le rire. L'émotion palpable qu'éveille ce texte en fait un témoignage universel contre la barbarie de tous les temps, une lecture nécessaire.
Mourir après le jour des Rois est un chef-d'oeuvre des lettres espagnoles. Il rassemble plusieurs textes que Manuel de la Escalera écrivit en prison entre 1944 et 1962. Le plus long de ces récits est le journal tenu entre le 15 décembre 1944 et le 17 janvier 1945, dans les couloirs de la mort de la prison d'Alcalá de Henares où l'auteur attend d'être fusillé. Car dans l'Espagne catholique, apostolique et romaine du général Franco, on ne fusille pas entre la Nativité et l'Epiphanie.
Alors, durant la trêve, les prisonniers continuent de vivre et attendent le télégramme portant les noms de ceux qui vont mourir, peut-être le leur n'y figurera pas. Les autres récits dressent quelques portraits des compagnons disparus, racontent la captivité. Raconter pour ne pas oublier. Tous ces récits disent la tragédie de la mort et de l'enfermement, l'appétit de vivre, la dignité, le rire. L'émotion palpable qu'éveille ce texte en fait un témoignage universel contre la barbarie de tous les temps, une lecture nécessaire.