Moteurs agricoles et industriels de nos anciens 1860-1960. Tome 2

Par : Bernard Gibert
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  • Nombre de pages400
  • PrésentationRelié
  • FormatGrand Format
  • Poids1.926 kg
  • Dimensions21,5 cm × 30,3 cm × 3,0 cm
  • ISBN978-2-487670-01-3
  • EAN9782487670013
  • Date de parution04/12/2024
  • ÉditeurCampagne et compagnie

Résumé

Avant l'avènement des moteurs à vapeur ou électriques, c'était la force de l'homme ou des animaux qui faisait fonctionner les machines ! On les plaçait même parfois dans une roue qui ressemblait à celle que l'on trouve dans les cages à écureuils ! S'il s'agissait de chevaux, ceux-ci tournaient dans des manèges pour actionner les batteuses à grains. L'auteur, alors qu'il était encore enfant, faisait tourner une manivelle qui actionnait un affuteur de lames de faucheuses.
On utilisait également les moulins à vent ou à eau entrains par une roue à aube ou par une turbine, qui pouvait atteindre une puissance allant de 10 à 20 chevaux. C'est en 1850 que l'on voit apparaitre les premières chaudières à vapeur fixes, puis en 1860, les premiers moteurs Lenoir à deux temps (mélange air/gaz et allumage par bougies), enfin le premier moteur atmosphérique Otto, présenté à l'Exposition universelle de 1874 marque la naissance du moteur industriel dont la production se développe en France, en Allemagne et en Grande-Bretagne.
C'est cette épopée que se propose de vous raconter Bernard Gibert des moteurs à gaz de 1890 jusqu'aux moteurs électriques en 1950 en passant par les moteurs thermiques, toujours indispensables aujourd'hui.
Avant l'avènement des moteurs à vapeur ou électriques, c'était la force de l'homme ou des animaux qui faisait fonctionner les machines ! On les plaçait même parfois dans une roue qui ressemblait à celle que l'on trouve dans les cages à écureuils ! S'il s'agissait de chevaux, ceux-ci tournaient dans des manèges pour actionner les batteuses à grains. L'auteur, alors qu'il était encore enfant, faisait tourner une manivelle qui actionnait un affuteur de lames de faucheuses.
On utilisait également les moulins à vent ou à eau entrains par une roue à aube ou par une turbine, qui pouvait atteindre une puissance allant de 10 à 20 chevaux. C'est en 1850 que l'on voit apparaitre les premières chaudières à vapeur fixes, puis en 1860, les premiers moteurs Lenoir à deux temps (mélange air/gaz et allumage par bougies), enfin le premier moteur atmosphérique Otto, présenté à l'Exposition universelle de 1874 marque la naissance du moteur industriel dont la production se développe en France, en Allemagne et en Grande-Bretagne.
C'est cette épopée que se propose de vous raconter Bernard Gibert des moteurs à gaz de 1890 jusqu'aux moteurs électriques en 1950 en passant par les moteurs thermiques, toujours indispensables aujourd'hui.