Mortelles fratries

Par : Ahmed Tiab
Actuellement indisponible
Cet article est actuellement indisponible, il ne peut pas être commandé sur notre site pour le moment. Nous vous invitons à vous inscrire à l'alerte disponibilité, vous recevrez un e-mail dès que cet ouvrage sera à nouveau disponible.
  • Nombre de pages320
  • PrésentationBroché
  • FormatPoche
  • Poids0.282 kg
  • Dimensions12,5 cm × 19,0 cm × 2,2 cm
  • ISBN978-2-8159-3255-4
  • EAN9782815932554
  • Date de parution07/02/2019
  • CollectionL'Aube noire poche
  • ÉditeurAube (Editions de l')

Résumé

Au programme des réjouissances, médecine chamanique et rituels de sorcellerie maghrébine, secrets de famille et questionnement identitaire ! D'un pays à un autre, d'une croyance ancestrale à la perte de repères des sociétés modernes, Ahmed Tiab tisse une intrigue terriblement efficace, d'Oran à la fin des années quatre-vingt à Paris de nos jours.
Au programme des réjouissances, médecine chamanique et rituels de sorcellerie maghrébine, secrets de famille et questionnement identitaire ! D'un pays à un autre, d'une croyance ancestrale à la perte de repères des sociétés modernes, Ahmed Tiab tisse une intrigue terriblement efficace, d'Oran à la fin des années quatre-vingt à Paris de nos jours.

Avis des lecteurs
Commentaires laissés par nos lecteurs

5/5
sur 1 note dont 1 avis lecteur
RECOMMANDÉ PAR CULTURE-CHRONIQUE
Après “Le Français de Roseville” et “Le désert ou la mer” Ahmed Tiab nous propose avec “Gymnopédie pour une disparue” un étonnant polar peuplé d’êtres au passé compliqué embarqués dans une histoire dont ils ne contrôlent pas grand chose. D’abord il y a Boris que sa mère a laissé à l’une de ses amis, Rose, une militante féministe, avant de disparaître. Boris qui a atteint l’âge adulte sans avoir revu sa mère, végète, travaillant dans une petite mairie, habitant l’appartement de Rose qu’il a reçu en héritage. Cette vie, faite d’habitudes et surtout d’intangibilité semble lui convenir. Jusqu’au jour où un jeune homme sonne à sa porte et lui montre une photo qu’il a reçu d’un ami parti faire le Jihad en Syrie. Le jeune homme s’appelle Oussama, est pratiquant mais ne veut pas participer au jihad. En revanche il conserve des contacts, il communique avec ses relations. Sur la photo qu’il lui a montré Boris voit son sosie, comme un étrange jumeau. Il s’interroge et finit par comprendre que le personnage a peut-être un lien avec sa mère. A partir de ce moment la vie de Boris va basculer et ce qui constituait jusqu’alors l’existence la plus routinière va soudain s’accélérer et l’entraîner dans une incroyable aventure. Parallèlement à l’histoire de Boris, on retrouve l’un des personnages récurrent d’Ahmed Tiab, Kémal, qui dirige la police d’Oran. On se délecte de sa relation avec sa mère, sa compagne et les flics avec lesquels il travaillent depuis des années. Tiab se joue de son lecteur, disloquant d’abord son récit pour ensuite rassembler chaque pièce du puzzle narratif. C’est brillant, d’une écriture nerveuse qui sait jouer avec tous les procédés qui retarderont le dénouement. A ce titre “Gymnopédie pour une disparue” est un polar efficace et souvent jubilatoire qui nous initie à la médecine chamanique, à la sorcellerie maghrébine sur fond d’interrogation identitaire. De Honfleur à Oran en passant par la Syrie l’écrivain met en place, sur un air d’Eric Satie, un piège narratif qui se referme implacablement sur le lecteur. Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
Après “Le Français de Roseville” et “Le désert ou la mer” Ahmed Tiab nous propose avec “Gymnopédie pour une disparue” un étonnant polar peuplé d’êtres au passé compliqué embarqués dans une histoire dont ils ne contrôlent pas grand chose. D’abord il y a Boris que sa mère a laissé à l’une de ses amis, Rose, une militante féministe, avant de disparaître. Boris qui a atteint l’âge adulte sans avoir revu sa mère, végète, travaillant dans une petite mairie, habitant l’appartement de Rose qu’il a reçu en héritage. Cette vie, faite d’habitudes et surtout d’intangibilité semble lui convenir. Jusqu’au jour où un jeune homme sonne à sa porte et lui montre une photo qu’il a reçu d’un ami parti faire le Jihad en Syrie. Le jeune homme s’appelle Oussama, est pratiquant mais ne veut pas participer au jihad. En revanche il conserve des contacts, il communique avec ses relations. Sur la photo qu’il lui a montré Boris voit son sosie, comme un étrange jumeau. Il s’interroge et finit par comprendre que le personnage a peut-être un lien avec sa mère. A partir de ce moment la vie de Boris va basculer et ce qui constituait jusqu’alors l’existence la plus routinière va soudain s’accélérer et l’entraîner dans une incroyable aventure. Parallèlement à l’histoire de Boris, on retrouve l’un des personnages récurrent d’Ahmed Tiab, Kémal, qui dirige la police d’Oran. On se délecte de sa relation avec sa mère, sa compagne et les flics avec lesquels il travaillent depuis des années. Tiab se joue de son lecteur, disloquant d’abord son récit pour ensuite rassembler chaque pièce du puzzle narratif. C’est brillant, d’une écriture nerveuse qui sait jouer avec tous les procédés qui retarderont le dénouement. A ce titre “Gymnopédie pour une disparue” est un polar efficace et souvent jubilatoire qui nous initie à la médecine chamanique, à la sorcellerie maghrébine sur fond d’interrogation identitaire. De Honfleur à Oran en passant par la Syrie l’écrivain met en place, sur un air d’Eric Satie, un piège narratif qui se referme implacablement sur le lecteur. Archibald PLOOM (CULTURE-CHRONIQUE.COM)
Vingt stations
Ahmed Tiab
E-book
17,99 €
Vingt stations
Ahmed Tiab
E-book
17,99 €
Adieu Oran
Ahmed Tiab
E-book
13,99 €
Adieu Oran
Ahmed Tiab
E-book
13,99 €
Le désert ou la mer
Ahmed Tiab
E-book
11,99 €
Le désert ou la mer
Ahmed Tiab
E-book
11,99 €
Le Français de Roseville
5/5
9,99 €
Le Français de Roseville
5/5
9,99 €